historique et services
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historique et services
Naissance et déploiement
En 1990, à la suite de la régionalisation et du développement des TER, un besoin de renouvellement du parc autorail est apparu et une demande envers un nouveau type d’autorail capable d’une vraie polyvalence : à la fois une bonne vitesse de pointe pour assurer des services à longue distance et de fortes capacités d’accélération pour les dessertes locales.
Le projet est lancé en 1991 par Maurice Dousset, à l’époque président de la région Centre, dans le cadre du développement du TER Centre. Le cahier des charges de cet autorail fut d’ailleurs le premier à intégrer la volonté des régions.
Un design rappelant celui du TGV ainsi qu’un niveau de confort équivalent aux automotrices furent retenus et commandés par douze régions à 105 exemplaires à partir de 1994 (90 bicaisses, 15 tricaisses) à la société Alstom, les autorails X 72500 sont livrés de 1997 à 2000.
Les premières rames livrées le furent pour la région Centre, initiatrice du projet, qui les mit en service commercial le 28 septembre 1997 sur la ligne Paris-Austerlitz / Châteaudun / Tours en remplacement des X 2200.
En mars 1999, les premiers éléments tricaisse furent mis en service sur la relation grandes lignes Paris - Granville.
Depuis les premières livraisons, malgré les problèmes de jeunesse, des commandes complémentaires ont été effectuées portant le parc à 117 éléments. La région Rhône-Alpes a également souhaité modifier son parc d'éléments, initialement bicaisses, en version tricaisse par l'achat de quinze remorques intermédiaires.
Une grande partie de ces engins ont été construits dans l’usine d’Aytré / La Rochelle qui s’est spécialisée dans les autorails, tramways et remorques de TGV.
Description
Les rames X 72500 sont de deux types :
éléments à deux caisses (deux motrices) construits à 90 exemplaires ;
éléments à trois caisses (une motrice, une remorque, une motrice) construits à 15 exemplaires.
Les rames sont couplables entre elles jusqu’à trois éléments, indépendamment du fait qu’elles soient bi ou tri-caisses.
Elles sont équipées d’un moteur MAN six cylindres de 300 kW par essieu moteur. Une motrice comprend deux essieux moteurs et chaque rame comprend deux motrices, ce qui permet de disposer d’une puissance totale de 1 200 kW et la transmission est assurée par une boite hydromécanique Voith. La vitesse maximale assurée par cette chaine de traction est de 160 km/h.
Afin d’assurer le fonctionnement des auxiliaires (éclairage, climatisation, commande des portes, etc.), chaque caisse comprend un groupe électrogène (Perkins/Mecalte) de 135 kW, appelés GROG (groupe electro) dans le manuel de conduite.
Le freinage est assuré par un système de frein à disque mécanique sur les essieux couplé à un frein hydrodynamique. Il est commandé au moyen du manipulateur de traction et d'un manipulateur de frein classique.
Le poste de conduite, type TGV centré dans la cabine, a été conçu pour faciliter le travail du conducteur. Il comporte d’ailleurs les éléments permettant d’assurer le service à agent seul (mais l’absence d’équipement de rétro-vision oblige d’avoir un second agent à bord), ainsi que le système ATESS, un enregistreur de paramètres de route plus complet que ceux existant auparavant. L’ensemble de la gestion de l’engin est assuré par un système informatique embarqué. Les pannes peuvent être rapidement diagnostiquées par celui-ci. Le contrôle des niveaux d’huiles, de gazole et du liquide de refroidissement se font par le même ordinateur.
La phase de fiabilisation de ces autorails a d’ailleurs été particulièrement longue, ce qui leur vaut encore aujourd’hui une mauvaise réputation. Deux opérations de retour en usine ont eu lieu :
Rétrofit 1, de 1998 à mi-1999, avait pour objectif des modifications de sécurité et l'installation de nouvelles versions du système informatique embarqué ;
Rétrofit 2, de mi-1999 à fin 2000, où plus de 200 modifications furent apportées, essentiellement au niveau du confort des voyageurs.
En 2006, des problèmes récurrents existaient toujours au niveau des groupes électrogènes et des dispositifs d’ouverture et de fermeture des portes. Ils ont été réglés pour partie en variant l’inclinaison des ventilateurs des groupes électrogènes.
L’ajout d’une troisième caisse intermédiaire par la Région Rhône-Alpes les a davantage fragilisés, et plusieurs d’entre eux ont pris feu dont le dernier incendie à Myans (en Savoie) le 21 mai 2009 avec l’X 72642. En 2009, la Région Rhône-Alpes doit les retirer de l’unique service international qu’ils assuraient sur Valence - Grenoble - Genève en raison de leur manque chronique de fiabilité et du non-respect par ces engins des normes suisses de pollution : bruit des moteurs au ralenti, en stationnement en gare et aussi bruit important à l’échappement, d’où le surnom d’aspirateur entre autres.
En 2010 et 2011, à la suite de la perte régulière des carénages avant consécutif à divers chocs, certains 72500 sont limités en vitesse et passent à « VL120 » (VL = Vitesse limite).
Service
Toutes dessertes sur lignes non électrifiées.
Engins particuliers
Les 6 rames de la région Picardie sont baptisées par le nom d’un CRCI de la région :
X 72715/716 « Le plateau Picard »,
X 72721/722 « Le Trait Vert »,
X 72725/726 « La Baie de Somme »,
X 72729/730 « Les Trois Rivières »,
X 72731/732 « Le Vermandois »,
X 72733/734 « Le Pays d’Ancre ».
Relations assurées
Intercités
Paris-Montparnasse-Vaugirard - Granville
Gare de Tours - Gare de Lyon-Perrache via Gare de Roanne, Gare de Moulins-sur-Allier et Gare de Bourges (assuré avec les X 72500 de la région Rhône-Alpes).
Bordeaux - Lyon-Perrache via Roanne, Montluçon, Guéret et Limoges Bénédictins (assuré avec les X 72500 (tri-caisses) de la région Rhône-Alpes et X 72500 (bi-caisses) de la région Limousin) (ligne en pause jusqu'à fin 2013 entre Limoges et Gannat pour causes de travaux divers).
Gare de Lyon-Perrache - Gare de Nantes via Gare de Roanne,Moulins, Tours, Nantes.
TER Aquitaine
Bordeaux - St Mariens-St Yzan
Bordeaux - Périgueux - Limoges - Brive
Bordeaux - Bergerac - Sarlat
TER Auvergne
Toulouse - Figeac - Capdenac - Aurillac - Neussargues - Arvant - Clermont Ferrand
La Région Auvergne a revendu ses trois X 72500 à la Région Midi-Pyrénées qui en possédait déjà.
TER Basse-Normandie
Paris-Montparnasse-Vaugirard - Argentan
Caen - Alencon - Le Mans
TER Centre
Paris-Austerlitz - Châteaudun - Vendôme - Tours
Tours - Château du Loir - Le Mans - Alencon
Tours - Bourges - Nevers - Dijon
TER Champagne-Ardenne
Paris-Est - Troyes - Chaumont - Culmont-Chalindrey
TER Limousin
Limoges Bénédictins - Poitiers
Limoges Bénédictins - Guéret - Montluçon
TER Provence-Alpes-Côte d'Azur
Romans - Bourg-de-Péage - Valence - Veynes Dévoluy - Gap - Briançon
Marseille - Aix-en-Provence - Gap - Briançon
TER Pays de la Loire
Tours-Le Mans-Caen
TER Picardie
Paris-Nord - Soissons - Laon
Amiens - Laon
Amiens - Abbeville - Calais
Amiens - Compiègne
TER Poitou-Charentes
Angoulême - Saintes - Royan
Niort - Saintes - Royan
La Région Poitou-Charentes a revendu ses X 72500 à la Région Aquitaine qui en possédait déjà.
TER Rhône-Alpes (15 éléments bi-caisses, tous transformés en tri-caisses)
Grenoble - Chambéry - Aix-les-Bains - Bellegarde - Genève (en service international jusqu’au 5 septembre 2009, remplacés par des B 82500)
Valence - Grenoble - Chambéry - Aix-les-Bains - Bellegarde - Genève (en service international jusqu’au 5 septembre 2009, remplacés par des B 82500)
Valence - Grenoble - Chambéry - Aix-les-Bains - Annecy (jusqu’en 2009, remplacés par des B 82500)
Grenoble - Lyon (pour rapatriement à Lyon jusqu’en 2009, remplacés par des B 82500)
Chambéry - Lyon (pour rapatriement à Lyon jusqu’en 2009, remplacés par des B 82500)
Ligne Lyon - Roanne (à partir du 6 septembre 2009)
Ligne Roanne - Saint-Étienne (à partir du 6 septembre 2009)
TER Midi-Pyrénées
Toulouse - Albi - Rodez
Toulouse - Aurillac
Toulouse - Capdenac - Clermont-Ferrand
Dépôts Titulaires
Caen pour le Superviseur Technique de Flotte Normandie(dès décembre 1998, avec 19 exemplaires au 12/12/2012)
Limoges pour le STF Limousin (dès mars 1997, avec 6 exemplaires au 12/12/2012) et pour le STF Aquitaine (dès juin 2011, avec 17 exemplaires au 12/12/2012)
Longueau pour le STF Picardie (dès mai 2002, avec 6 exemplaires au 12/12/2012)
Lyon-Vaise pour le STF Rhône-Alpes (dès mars 1998, avec 15 exemplaires au 12/12/2012)
Marseille-Blancarde pour le STF PACA (dès février 1998, avec 17 exemplaires au 12/12/2012)
Nevers (cèdes à Toulouse)
Saintes (cédés à Limoges)
Toulouse pour le STF Midi-Pyrénées (dès décembre 1997, avec 11 exemplaires au 12/12/2012)
Tours-Saint-Pierre des Corps pour le STF Centre-Tours et STF Pays de la Loire (dès septembre 1997, avec 26 exemplaires au 12/12/2012)
En 1990, à la suite de la régionalisation et du développement des TER, un besoin de renouvellement du parc autorail est apparu et une demande envers un nouveau type d’autorail capable d’une vraie polyvalence : à la fois une bonne vitesse de pointe pour assurer des services à longue distance et de fortes capacités d’accélération pour les dessertes locales.
Le projet est lancé en 1991 par Maurice Dousset, à l’époque président de la région Centre, dans le cadre du développement du TER Centre. Le cahier des charges de cet autorail fut d’ailleurs le premier à intégrer la volonté des régions.
Un design rappelant celui du TGV ainsi qu’un niveau de confort équivalent aux automotrices furent retenus et commandés par douze régions à 105 exemplaires à partir de 1994 (90 bicaisses, 15 tricaisses) à la société Alstom, les autorails X 72500 sont livrés de 1997 à 2000.
Les premières rames livrées le furent pour la région Centre, initiatrice du projet, qui les mit en service commercial le 28 septembre 1997 sur la ligne Paris-Austerlitz / Châteaudun / Tours en remplacement des X 2200.
En mars 1999, les premiers éléments tricaisse furent mis en service sur la relation grandes lignes Paris - Granville.
Depuis les premières livraisons, malgré les problèmes de jeunesse, des commandes complémentaires ont été effectuées portant le parc à 117 éléments. La région Rhône-Alpes a également souhaité modifier son parc d'éléments, initialement bicaisses, en version tricaisse par l'achat de quinze remorques intermédiaires.
Une grande partie de ces engins ont été construits dans l’usine d’Aytré / La Rochelle qui s’est spécialisée dans les autorails, tramways et remorques de TGV.
Description
Les rames X 72500 sont de deux types :
éléments à deux caisses (deux motrices) construits à 90 exemplaires ;
éléments à trois caisses (une motrice, une remorque, une motrice) construits à 15 exemplaires.
Les rames sont couplables entre elles jusqu’à trois éléments, indépendamment du fait qu’elles soient bi ou tri-caisses.
Elles sont équipées d’un moteur MAN six cylindres de 300 kW par essieu moteur. Une motrice comprend deux essieux moteurs et chaque rame comprend deux motrices, ce qui permet de disposer d’une puissance totale de 1 200 kW et la transmission est assurée par une boite hydromécanique Voith. La vitesse maximale assurée par cette chaine de traction est de 160 km/h.
Afin d’assurer le fonctionnement des auxiliaires (éclairage, climatisation, commande des portes, etc.), chaque caisse comprend un groupe électrogène (Perkins/Mecalte) de 135 kW, appelés GROG (groupe electro) dans le manuel de conduite.
Le freinage est assuré par un système de frein à disque mécanique sur les essieux couplé à un frein hydrodynamique. Il est commandé au moyen du manipulateur de traction et d'un manipulateur de frein classique.
Le poste de conduite, type TGV centré dans la cabine, a été conçu pour faciliter le travail du conducteur. Il comporte d’ailleurs les éléments permettant d’assurer le service à agent seul (mais l’absence d’équipement de rétro-vision oblige d’avoir un second agent à bord), ainsi que le système ATESS, un enregistreur de paramètres de route plus complet que ceux existant auparavant. L’ensemble de la gestion de l’engin est assuré par un système informatique embarqué. Les pannes peuvent être rapidement diagnostiquées par celui-ci. Le contrôle des niveaux d’huiles, de gazole et du liquide de refroidissement se font par le même ordinateur.
La phase de fiabilisation de ces autorails a d’ailleurs été particulièrement longue, ce qui leur vaut encore aujourd’hui une mauvaise réputation. Deux opérations de retour en usine ont eu lieu :
Rétrofit 1, de 1998 à mi-1999, avait pour objectif des modifications de sécurité et l'installation de nouvelles versions du système informatique embarqué ;
Rétrofit 2, de mi-1999 à fin 2000, où plus de 200 modifications furent apportées, essentiellement au niveau du confort des voyageurs.
En 2006, des problèmes récurrents existaient toujours au niveau des groupes électrogènes et des dispositifs d’ouverture et de fermeture des portes. Ils ont été réglés pour partie en variant l’inclinaison des ventilateurs des groupes électrogènes.
L’ajout d’une troisième caisse intermédiaire par la Région Rhône-Alpes les a davantage fragilisés, et plusieurs d’entre eux ont pris feu dont le dernier incendie à Myans (en Savoie) le 21 mai 2009 avec l’X 72642. En 2009, la Région Rhône-Alpes doit les retirer de l’unique service international qu’ils assuraient sur Valence - Grenoble - Genève en raison de leur manque chronique de fiabilité et du non-respect par ces engins des normes suisses de pollution : bruit des moteurs au ralenti, en stationnement en gare et aussi bruit important à l’échappement, d’où le surnom d’aspirateur entre autres.
En 2010 et 2011, à la suite de la perte régulière des carénages avant consécutif à divers chocs, certains 72500 sont limités en vitesse et passent à « VL120 » (VL = Vitesse limite).
Service
Toutes dessertes sur lignes non électrifiées.
Engins particuliers
Les 6 rames de la région Picardie sont baptisées par le nom d’un CRCI de la région :
X 72715/716 « Le plateau Picard »,
X 72721/722 « Le Trait Vert »,
X 72725/726 « La Baie de Somme »,
X 72729/730 « Les Trois Rivières »,
X 72731/732 « Le Vermandois »,
X 72733/734 « Le Pays d’Ancre ».
Relations assurées
Intercités
Paris-Montparnasse-Vaugirard - Granville
Gare de Tours - Gare de Lyon-Perrache via Gare de Roanne, Gare de Moulins-sur-Allier et Gare de Bourges (assuré avec les X 72500 de la région Rhône-Alpes).
Bordeaux - Lyon-Perrache via Roanne, Montluçon, Guéret et Limoges Bénédictins (assuré avec les X 72500 (tri-caisses) de la région Rhône-Alpes et X 72500 (bi-caisses) de la région Limousin) (ligne en pause jusqu'à fin 2013 entre Limoges et Gannat pour causes de travaux divers).
Gare de Lyon-Perrache - Gare de Nantes via Gare de Roanne,Moulins, Tours, Nantes.
TER Aquitaine
Bordeaux - St Mariens-St Yzan
Bordeaux - Périgueux - Limoges - Brive
Bordeaux - Bergerac - Sarlat
TER Auvergne
Toulouse - Figeac - Capdenac - Aurillac - Neussargues - Arvant - Clermont Ferrand
La Région Auvergne a revendu ses trois X 72500 à la Région Midi-Pyrénées qui en possédait déjà.
TER Basse-Normandie
Paris-Montparnasse-Vaugirard - Argentan
Caen - Alencon - Le Mans
TER Centre
Paris-Austerlitz - Châteaudun - Vendôme - Tours
Tours - Château du Loir - Le Mans - Alencon
Tours - Bourges - Nevers - Dijon
TER Champagne-Ardenne
Paris-Est - Troyes - Chaumont - Culmont-Chalindrey
TER Limousin
Limoges Bénédictins - Poitiers
Limoges Bénédictins - Guéret - Montluçon
TER Provence-Alpes-Côte d'Azur
Romans - Bourg-de-Péage - Valence - Veynes Dévoluy - Gap - Briançon
Marseille - Aix-en-Provence - Gap - Briançon
TER Pays de la Loire
Tours-Le Mans-Caen
TER Picardie
Paris-Nord - Soissons - Laon
Amiens - Laon
Amiens - Abbeville - Calais
Amiens - Compiègne
TER Poitou-Charentes
Angoulême - Saintes - Royan
Niort - Saintes - Royan
La Région Poitou-Charentes a revendu ses X 72500 à la Région Aquitaine qui en possédait déjà.
TER Rhône-Alpes (15 éléments bi-caisses, tous transformés en tri-caisses)
Grenoble - Chambéry - Aix-les-Bains - Bellegarde - Genève (en service international jusqu’au 5 septembre 2009, remplacés par des B 82500)
Valence - Grenoble - Chambéry - Aix-les-Bains - Bellegarde - Genève (en service international jusqu’au 5 septembre 2009, remplacés par des B 82500)
Valence - Grenoble - Chambéry - Aix-les-Bains - Annecy (jusqu’en 2009, remplacés par des B 82500)
Grenoble - Lyon (pour rapatriement à Lyon jusqu’en 2009, remplacés par des B 82500)
Chambéry - Lyon (pour rapatriement à Lyon jusqu’en 2009, remplacés par des B 82500)
Ligne Lyon - Roanne (à partir du 6 septembre 2009)
Ligne Roanne - Saint-Étienne (à partir du 6 septembre 2009)
TER Midi-Pyrénées
Toulouse - Albi - Rodez
Toulouse - Aurillac
Toulouse - Capdenac - Clermont-Ferrand
Dépôts Titulaires
Caen pour le Superviseur Technique de Flotte Normandie(dès décembre 1998, avec 19 exemplaires au 12/12/2012)
Limoges pour le STF Limousin (dès mars 1997, avec 6 exemplaires au 12/12/2012) et pour le STF Aquitaine (dès juin 2011, avec 17 exemplaires au 12/12/2012)
Longueau pour le STF Picardie (dès mai 2002, avec 6 exemplaires au 12/12/2012)
Lyon-Vaise pour le STF Rhône-Alpes (dès mars 1998, avec 15 exemplaires au 12/12/2012)
Marseille-Blancarde pour le STF PACA (dès février 1998, avec 17 exemplaires au 12/12/2012)
Nevers (cèdes à Toulouse)
Saintes (cédés à Limoges)
Toulouse pour le STF Midi-Pyrénées (dès décembre 1997, avec 11 exemplaires au 12/12/2012)
Tours-Saint-Pierre des Corps pour le STF Centre-Tours et STF Pays de la Loire (dès septembre 1997, avec 26 exemplaires au 12/12/2012)
Re: historique et services
_________________
PIERRE Francomtois d'origine Bearnais d'adoption amoureux de la Normandie et supporter du FC SOCHAUX
Francomtois 64- Vive la Normandie!!
- Nombre de messages : 63816
Age : 74
Localisation : LONS (Pau)
Loisirs : modelisme , jeux sur PC, photos et videos
Date d'inscription : 05/09/2007
Re: historique et services
Bonsoir,
la chaudronnerie des caisses a été reprise sur les Z21500. Ces dernières n'ont pas connu de pépins de mise au point et ont une chaine de traction logiquement différente. Elles n'ont surtout pas ce GROG si mal conçu.
Mais leur esthétique est bien plus réussie, rien qu'en modifiant ces boucliers ratés et la partie en dessous du pare brise
la chaudronnerie des caisses a été reprise sur les Z21500. Ces dernières n'ont pas connu de pépins de mise au point et ont une chaine de traction logiquement différente. Elles n'ont surtout pas ce GROG si mal conçu.
Mais leur esthétique est bien plus réussie, rien qu'en modifiant ces boucliers ratés et la partie en dessous du pare brise
Re: historique et services
vous auriez pas les plans de ces autorails ???
ancistrus54- je découvre
-
Nombre de messages : 38
Age : 46
Localisation : Loiret
Date d'inscription : 01/02/2013
Re: historique et services
Intéressant cet historique bien détaillé. Merci et Bravo AL BENDER.
papytrain- by Trainmusical
-
Nombre de messages : 1243
Age : 74
Localisation : Suisse
Loisirs : Passion du chemin de fer et des bateaux lacustres à vapeur
Date d'inscription : 01/10/2007
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