Autorail N°4 Decauville "nez de cochon" ATLAS

Bonjour, je l'ai reçu hier. Je le trouve sympa, même s'il n'est pas super détaillé et que pour le rendre roulant, il y a pas mal de boulot.
Je pense qu'il faut prévoir un châssis "maison" et un bogie Hailling devrait donner un résultat correct.


Les dessous de la bête.

Le démontage

Pas mal du tout! Un peu de détaillage et ca ira...

Et bienvenue Francis!

Quel est le prochailn autorail annoncé dans la collection?

La pauline

Merci

il est vraiment bien cette autorail, bon il est clair que dans l'état actuel et même en remorque il doit avoir du mal à tourner vu que le chassis n'a pas de zone de dégagement pour les bogies et comme c'est dit, faut créer un nouveau chassis et prendre au moins un bogie motorisé, c'est une belle aventure de faire cela car ce modèle n'est pas commercialisé dans le commerce et rare en modélisme.
j'attends le miens avec impatience.

Selon les "compteurs de rivets" sur un autre forum, le nez serait trop incliné et pas assez large.
Pour le faire rouler, même en remorque, il n'y a aucun débattement prévu pour la rotation du bogie et des trous pour la rotation des roues sur le châssis actuel. Je pense m'attaquer au sujet bientôt puisque j'ai un bogie Hailling en stock. Je vous ferai part de mes essais. (Pour l'instant, je me bat avec la micheline 5, mais elle résiste la bougresse).

C'est pour ca que mes autorails Atlas resteront 100% statiques ou remorques

il faut effectivement regarder de près les soucis à venir qui sont pour commencer: la motorisation et tous les organes de roulement, alors dans une premier temps, ils resteront tous en statique mais certainement que par la suite ils seront motorisés pour certain.

C'est vrai...ne jamais dire jamais

Bonjour.
J'ai entrepris de motoriser ce Decauville 600 CV "Nez de cochon" :
L'idée est d'utiliser un bogie moteur Leopold Hailling, suffisamment bas pour prendre place sous le capot.
La première étape consiste à couper les extrémités du châssis pour ne conserver que la partie centrale qui devrait suffire comme lest.

Ensuite, j'ai fabriqué un plancher en carte plastique pour le bogie porteur.

Pour maintenir le châssis et l'aménagement intérieur avec la caisse, j'ai collé deux baguettes d'Evergreen sur la caisse, qui viennent se loger dans la rainure entre le bord bas du châssis métallique et le plancher en plastique. Comme cela , la séparation de la caisse se fait facilement en écartant légèrement les flancs (un peu comme sur les ABJ Electrotren).

La pièce en plastique faisant le plancher de l'aménagement intérieur est découpée à la taille du bogie moteur qui est fixé par une traverse vissée (récupération d'une traverse Tenshodo).

Les flancs de bogie Atlas seront récupérés et collés sur le bogie Hailling.
Je pense réutiliser le bogie porteur Atlas après lui avoir changé les roues en plastique par des roues en métal.

Pour pouvoir réutiliser ce bogie, j'ai découpé le pivot du châssis en métal Atlas et je l'ai collé sous mon plancher en carte plastique.

Un premier essai sur une trentaine de centimètres est assez concluant : L'autorail avance et amorce la courbe.

voila une façon astucieuse de motoriser cet autorail et franchement je suis content de te voir le faire car je n'avais pas d'idée pour le moment, bravo c'est classe.

Merci Al, mais il y a encore pas mal de trucs à faire : J'ai commandé des roues chez Micro Modèles, je dois voir comment on sépare l'alimentation du moteur Hailling des roues (pour le digitaliser), prévoir la mise en place d'un frotteur pour le 3 rails, ajuster la place du pivot de bogie porteur et envisager un éclairage (Phares AMF87, feux rouges d'angles, éclairage du compartiment passagers).
L'avantage du bogie Hailling, c'est qu'il ne déborde pas devant les vitrages, ce qui devrait permettre de refaire un compartiment à bagages plausible. Par contre, je n'ai pas trouvé de documentation pour la disposition des aménagements intérieurs : Ce qui est proposé par Atlas est-il conforme, rien n'est moins sûr (Ils ont bien proposé un VH sans moteur et avec deux toilettes (du mauvais côté en plus).

superbe, et bien j'attends ton travail avec plaisir car là j'adore!!

Sublime!!

N'ayant pas de frotteur de la bonne taille, je laisse en plan la suite de la motorisation, mais j'ai avancé la décoration de l'intérieur.
- Peinture du plancher et des sièges de 3e classe (Il semble qu'Atlas a respecté à peu près la disposition si j'en crois le tome 2 des 3autorails de France" par Yves Broncart qui parle d'un compartiment de 3e classe à 46 places - il en manque 5 - et d'un compartiment 1ère-2e classe à 16 places en plus du compartiment fourgon). Je m'interroge sur la présence ou pas de cloisons de séparation entre ces compartiments (J'en ai mis une d'office entre les 1ère-2e classe et le fourgon).
- Mise en place de palpeurs pour la prise de courant sur le bogie porteur.
- Confection d'un boitier cache-moteur - porte-décodeur dans le fourgon. Je trouve qu'il est vraiment gros donc je ne suis pas sûr de le conserver et j'hésite à fermer aussi le dessus de la cabine pour cacher le moteur.

c'est du travail à la chaine entre diffèrent autorail

l'intérieur est vraiment sympa ainsi décoré et le cache moteur ne se verra pas de l'extérieur, beau travail

Attention, ne pas monter la caisse VH sur le chassis Décauville

Beau travail!!

Je ne comprend pas chef. Ça ne rentre pas !!! :grimace:

Le fil rouge sur le bouton rouge,le fil bleu sur...

C'est cela, oui (Thierry Lhermitte dans Le père noël est une ordure).
Si je tenais le c** qui a fait sauter le pont...

:rire ahah:

Non je crois qu'il s'agit de la 7ème Compagnie de et avec Robert Lamoureux.

François, tu as parfaitement raison pour "le fil rouge sur le bouton rouge ... " et pour "Si je tenais le c** qui a fait sauter le pont" (soldat Pithivier - Jean Lefebvre) mais la réplique "C'est cela, oui" est dans le père Noël lorsque Thierry Lhermitte reçoit un appel de détresse de Christian Clavier.

Bonjour.
Nouvelle avancée dans la réalisation du Decauville : J'ai creusé les phares (je pense y placer une micro-LED pour les rendre fonctionnels) et j'ai mis un coup de pinceau à l'aménagement intérieur, en attendant un frotteur convenable et des passagers.