La Micheline type 51 ATLAS chez boisavia le 9 Aout 2015
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snoop27
boisavia
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Le Forum Picasso :: Le modélisme :: Collection Michelines et Autorails ATLAS :: N°7 Autorail Micheline Type 51 dite Coloniale.
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La Micheline type 51 ATLAS chez boisavia le 9 Aout 2015
Bonjour à tous,
Cà y est, le reliquat des "non-reçues" en autorail , vient de m'apporter cet autorail "micheline type 51"...
Petite pièce car c'est du HOm...alors j'ai sorti les petits doigts et ai mis mes lunettes..
Sympathique évocation que cette micheline, bien que cette couleur blanche ne semble pas la mettre en valeur..
Qu'importe, elle était destinée à rouler sous un soleil au zénith, d'où cette couleur pour la réverbération....finalement , on s'y fait tout en la bricolant, et comme c'est pas si simple , ben , on finit par s'y attacher...
Puis, enfin , vient le moment où elle va se faire ses premiers tours de roues...Là, évidemment, on est content...
Je vous montre ce que j'ai fais , les bricoleurs vont avoir au moins , ma solution.
Roues de 9 mm , moteur de draisine, essieu moteur bandagé, captage type gigogne, et vu que c'est une plume, lest sous châssis...
La voici finie de motoriser, elle fonctionne très bien, en silence, elle à ses ralentis équivalents à tous mes modèles déjà réalisés...ayant les mêmes élèments
Voici mes images....
Une vue de 3/4 Avant..on se lave les mains pour toucher...hein....!!!
Une vue en élévation....Rien d'autre que les élements "ATLAS" adaptés pour que çà roule.
Une vue de dessous pour voir les braquages possibles . Mes essais se réalisent sur les courbes de voie "Tillig" en HOm....
Rien à dire, ce modéle permet d'obtenir les angles suffisants sans pour cela, couper ou même fragiliser le chassis...Le moteur de draisine employé se positionne en long , il s'intégre trés bien , l'impact dans l'habitacle en est minimisé....c'est peu visible.Mais que faire d'autre...?
Extraction des boggies...Tenus par les vis de pivot d'origine , on retrouve mes habitudes d'incrustations diverses comprenant les prises "gigogne" si pratiques pour nos nombreux et futurs démontages.....(Graissages paliers moteurs, paliers des essieux, nettoyages divers sur les lamelles, flancs de roues, etc..)
Ici , le boggie moteur, vu en rapproché....L'expérience des boggies à 3 essieux ou plus, mà montré qu'il est préférable d'encastrer plus profond , les essieux internes, disons 2/10, Le boggie moteur surtout...Nous nous retrouvons alors avec un boggie à deux essieux opérationnels, ce qui donne une meilleure prise de courant en tête, et sutout une adhérence accentuée sur l'essieux moteur bandagé....Ceci est important à savoir..
Les essieux internes deviennent transparents dans la fonction du boggie...Mais, vous verrez, que malgré tout, ils font leur office de représentation...et ils tournent...leur poids les plaquent aux rails...
Une dernière vue pour montrer que l'habillage interne à peu souffert , mais de toutes façons, ce modéle ne montre pas grand chose de son habitacle.
Ici, j'ai collé cet habillage sur le chassis par 4 petits points de colle "Soliq", trés faciles à décoller et à refaires... Sur ce model, il n'existe pas d'appuis trés fermes pour imobiliser cette pièce..Dans mon principe "gigogne", au contraire, il faut que cette pièce soit positionnée fermement..raison du collage..
Voici les Amis...si çà peut vous donner des idées, j'aurais servi à quelquechose aujourd'hui....
Salutatous...
Jean.
Cà y est, le reliquat des "non-reçues" en autorail , vient de m'apporter cet autorail "micheline type 51"...
Petite pièce car c'est du HOm...alors j'ai sorti les petits doigts et ai mis mes lunettes..
Sympathique évocation que cette micheline, bien que cette couleur blanche ne semble pas la mettre en valeur..
Qu'importe, elle était destinée à rouler sous un soleil au zénith, d'où cette couleur pour la réverbération....finalement , on s'y fait tout en la bricolant, et comme c'est pas si simple , ben , on finit par s'y attacher...
Puis, enfin , vient le moment où elle va se faire ses premiers tours de roues...Là, évidemment, on est content...
Je vous montre ce que j'ai fais , les bricoleurs vont avoir au moins , ma solution.
Roues de 9 mm , moteur de draisine, essieu moteur bandagé, captage type gigogne, et vu que c'est une plume, lest sous châssis...
La voici finie de motoriser, elle fonctionne très bien, en silence, elle à ses ralentis équivalents à tous mes modèles déjà réalisés...ayant les mêmes élèments
Voici mes images....
Une vue de 3/4 Avant..on se lave les mains pour toucher...hein....!!!
Une vue en élévation....Rien d'autre que les élements "ATLAS" adaptés pour que çà roule.
Une vue de dessous pour voir les braquages possibles . Mes essais se réalisent sur les courbes de voie "Tillig" en HOm....
Rien à dire, ce modéle permet d'obtenir les angles suffisants sans pour cela, couper ou même fragiliser le chassis...Le moteur de draisine employé se positionne en long , il s'intégre trés bien , l'impact dans l'habitacle en est minimisé....c'est peu visible.Mais que faire d'autre...?
Extraction des boggies...Tenus par les vis de pivot d'origine , on retrouve mes habitudes d'incrustations diverses comprenant les prises "gigogne" si pratiques pour nos nombreux et futurs démontages.....(Graissages paliers moteurs, paliers des essieux, nettoyages divers sur les lamelles, flancs de roues, etc..)
Ici , le boggie moteur, vu en rapproché....L'expérience des boggies à 3 essieux ou plus, mà montré qu'il est préférable d'encastrer plus profond , les essieux internes, disons 2/10, Le boggie moteur surtout...Nous nous retrouvons alors avec un boggie à deux essieux opérationnels, ce qui donne une meilleure prise de courant en tête, et sutout une adhérence accentuée sur l'essieux moteur bandagé....Ceci est important à savoir..
Les essieux internes deviennent transparents dans la fonction du boggie...Mais, vous verrez, que malgré tout, ils font leur office de représentation...et ils tournent...leur poids les plaquent aux rails...
Une dernière vue pour montrer que l'habillage interne à peu souffert , mais de toutes façons, ce modéle ne montre pas grand chose de son habitacle.
Ici, j'ai collé cet habillage sur le chassis par 4 petits points de colle "Soliq", trés faciles à décoller et à refaires... Sur ce model, il n'existe pas d'appuis trés fermes pour imobiliser cette pièce..Dans mon principe "gigogne", au contraire, il faut que cette pièce soit positionnée fermement..raison du collage..
Voici les Amis...si çà peut vous donner des idées, j'aurais servi à quelquechose aujourd'hui....
Salutatous...
Jean.
Dernière édition par boisavia le Lun 10 Aoû 2015 - 11:05, édité 1 fois
boisavia- moi je reste
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Re: La Micheline type 51 ATLAS chez boisavia le 9 Aout 2015
Encore une transformation menée comme une horloge
Jean
Jean
snoop27- enfin dans le picasso!!
-
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Date d'inscription : 08/03/2012
Re: La Micheline type 51 ATLAS chez boisavia le 9 Aout 2015
pffff c'est vraiment un AS de la modification pour motoriser tout cela
_________________
Coucou Invité & bonne visite sur le Forum... de la part de Murielle.
Re: La Micheline type 51 ATLAS chez boisavia le 9 Aout 2015
Bonjour Boisavia,
J'ai été très impressionné par ton amélioration de cette machine mais j'ai quand même une question.
Comment as-tu fixé le moteur sur le bogie ?
Merci de ta réponse
J'ai été très impressionné par ton amélioration de cette machine mais j'ai quand même une question.
Comment as-tu fixé le moteur sur le bogie ?
Merci de ta réponse
Fianarantsoa- moi je reste
-
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Localisation : MATHAY
Date d'inscription : 14/01/2016
Re: La Micheline type 51 ATLAS chez boisavia le 9 Aout 2015
Bonjour "Fianarantsoa" ,Fianarantsoa a écrit:Bonjour Boisavia,
J'ai été très impressionné par ton amélioration de cette machine mais j'ai quand même une question.
Comment as-tu fixé le moteur sur le bogie ?
Merci de ta réponse
Je t'avais fait une réponse aussitôt cette question posée....!!!
Celle-ci s'est perdue et je n'ai pas compris , j'ai dû faire une fausse manip....
Je recommence.......
--Concernant la fixation de ce moteur sur le boogie, elle est obtenue par un leger collage à la "Ciano"dans un premier temps
de façon à avoir une prise immèdiate, tout en restant facilement cassable si l'implantation n'est pas réussie..
Lors de cette première pose, je fais des essais a vide pour détecter d'eventuels points durs car le jeu obligé devant exister entre la vis tangente et le pignon moteur , est difficile à obtenir sans guidage....
Cette pose est bien plus sure si l'on se fait un gabarit de positionnement....
Lorsque c'est réussi, je consolide ce premier collage avec tjrs de la "Ciano" car sa fluidité et sa capilarité sont trés grandes....(Attention toutefois à la quantité utilisée car l'évaporation du "trop" emporte des embruns collants qui se déposent sur tout ce qui se trouve à proximité....j'ai pu observer ceci à ma grande surprise avec des collages indésirables pas simples à éliminer...!!)
Il n'empêche que ce collage "Ciano" n'aime pas les chocs , alors il faut consolider et c'est possible..
D'abord, il vaut mieux attendre quelques heures pour laisser durcir cette première fixation..
Ensuite, j'utilise la colle "SOLIQ" pour enrober les angles entre moteur et boggie, trés peu de colle est mieux, l'éclairage aux "UV" durci instantanèment ces congés, cette colle résiste aux chocs , mais reste, elle aussi, facilement usinable, d'où tout l'assemblage se trouve démontable sans rien casser..
Voici, j'ai monté tous mes modéles ainsi.....Ces deux colles sont compatibles, complémentaires et je les trouve bienvenues pour nos bricolages...
Amicalement à toi "Fianarantsoa" ,
Jean.
boisavia- moi je reste
-
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Re: La Micheline type 51 ATLAS chez boisavia le 9 Aout 2015
Bonjour Jean,
Je te remercie pour ta réponse qui me satisfait pleinement, moi j'utilise de la colle 21 et depuis peu de la SOLIQ donc pas de problème pour moi.
Je n'ai jamais travaillé sur du HOm (c'est petit) mais pour cette machine je vais faire une exception car cette micheline représente pour moi des souvenirs inoubliables, donc j'ai décidé de la motoriser aussi. J'ai déjà le moteur et il me reste à trouver les essieux par contre je suis en digital et il va falloir que je réfléchisse sur le sujet mais pour le moment j'ai d'autres améliorations en cours que je dois terminer dont un kit KIBRI en cours de motorisation.
Encore merci pour le partage et j'apprécie beaucoup.
A bientôt
Roger
Je te remercie pour ta réponse qui me satisfait pleinement, moi j'utilise de la colle 21 et depuis peu de la SOLIQ donc pas de problème pour moi.
Je n'ai jamais travaillé sur du HOm (c'est petit) mais pour cette machine je vais faire une exception car cette micheline représente pour moi des souvenirs inoubliables, donc j'ai décidé de la motoriser aussi. J'ai déjà le moteur et il me reste à trouver les essieux par contre je suis en digital et il va falloir que je réfléchisse sur le sujet mais pour le moment j'ai d'autres améliorations en cours que je dois terminer dont un kit KIBRI en cours de motorisation.
Encore merci pour le partage et j'apprécie beaucoup.
A bientôt
Roger
Fianarantsoa- moi je reste
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Localisation : MATHAY
Date d'inscription : 14/01/2016
Re: La Micheline type 51 ATLAS chez boisavia le 9 Aout 2015
pour ce travail de transformation. Chapeau!
Le bête du gévaudan- R.I.P
-
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Age : 63
Localisation : Gévaudan
Loisirs : Modélisme avec des petites pierres
Date d'inscription : 18/10/2007
Chapeau bas l'Artiste, mais comment fais-tu?
Bonjour à tous et chapeau bas à Boisavia.
Je prends le train en route, pardon, la micheline et pas n’importe la quelle ; j’ai eu l’insigne honneur de la voir presque tous les jours à Alarobia en allant au lycée à coté de chez moi à MADAGASCAR.
J’ai également eu le privilège de monter à bord et de l’avoir pour moi tout seul et mon frère cadet pour rejoindre Tana à l’oeil….c’était en 1959 !
Bon revenons à notre petite réplique ATLAS.
Je viens de l’acheter sur la baie pour des queues de cerises.
Encore bravo pour ta réalisation mais comment as-tu fait ?
J’ai plein de question :
1/ Comment accéder à l’intérieur des bogies et les ôter sans rien déglinguer ?
2/ Où trouver des roues de 9 mm bandagées ?
3/ Comment t’y es-tu pris pour ouvrir le châssis au niveau des bogies ?(trous tangents, scie, fraiseuse ?)
4/ Qu’entends-tu par prises gigogne bien pratiques pour démontage ?
5/ Une dernière question pour l’instant, quel est le rapport de réduction ou le nombre de dents du pignon moteur et le module de l’ensemble roue et vis sans fin ? (0,3 – 0,5) ?
Ca fait beaucoup, je sais mais un béotien de mon genre a besoin de l’expertise d’artistes comme toi.
Merci d’avance Boisavia.
Je prends le train en route, pardon, la micheline et pas n’importe la quelle ; j’ai eu l’insigne honneur de la voir presque tous les jours à Alarobia en allant au lycée à coté de chez moi à MADAGASCAR.
J’ai également eu le privilège de monter à bord et de l’avoir pour moi tout seul et mon frère cadet pour rejoindre Tana à l’oeil….c’était en 1959 !
Bon revenons à notre petite réplique ATLAS.
Je viens de l’acheter sur la baie pour des queues de cerises.
Encore bravo pour ta réalisation mais comment as-tu fait ?
J’ai plein de question :
1/ Comment accéder à l’intérieur des bogies et les ôter sans rien déglinguer ?
2/ Où trouver des roues de 9 mm bandagées ?
3/ Comment t’y es-tu pris pour ouvrir le châssis au niveau des bogies ?(trous tangents, scie, fraiseuse ?)
4/ Qu’entends-tu par prises gigogne bien pratiques pour démontage ?
5/ Une dernière question pour l’instant, quel est le rapport de réduction ou le nombre de dents du pignon moteur et le module de l’ensemble roue et vis sans fin ? (0,3 – 0,5) ?
Ca fait beaucoup, je sais mais un béotien de mon genre a besoin de l’expertise d’artistes comme toi.
Merci d’avance Boisavia.
JDJ- je découvre
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Age : 78
Localisation : 92320 CHATILLON
Date d'inscription : 01/03/2016
Re: La Micheline type 51 ATLAS chez boisavia le 9 Aout 2015
Bonsoir "JDJ",
Oulala , ami "JDJ", si tu poses toutes ces questions, c'est que tu vas m'obliger à t'expliquer ma façon de faire de manière approfondie..
Ceci risque d'être trop long et pénible à lire...Aussi, je ne vais commencer par répondre succinctement qu'aux questions de 1 à 5.....puis nous verrons ensuite s'il faut détailler plus.
A savoir,
Je travaille sur un coin de table, je n'ai aucune machines spécifiques au modélisme telles que tour ou fraiseuse , je ne possède et ce, depuis les années 60 , que des outillages à main..
Grande diversité de limes de toutes formes , de toutes tailles (Mon métier d'origine était celui d'ajusteur Outilleur). ceci, déjà, sous-entends, que le travail manuel sur matière m'est assez connu.
Si toi aussi possèdes une formation de ce type, çà va aider....bref..
Je possède aussi plusieurs petites perceuses, meuleuses, miniature....Sans elles , rien de possible dans ce contexte "coin de table"...
Outil de base à posséder obligatoirement , un petit étau "de qualité" monté sur base tournante. Le mien possède un bridage manuel pour pouvoir être accroché très solidement sur ma surface de travail..
Cette surface de travail n'est autre que ce que nous prenons comme dessous d'évier lorsque nous faisons nous-même nos cuisines aménagées, (épaisseur 40 mm, planéité idoine,revêtement stratifié très dur..)
J'avais rectifié les mords pour déjà , ne pas marquer, puis pour avoir un guidage lors de découpe ou autres....c'est très important en modélisme.
En gros, l'outillage classique du bricoleur.....pour tout le reste....Mais ce reste est grand , il en faut des trucs et des machins qui s'avèrent indispensables....(Le coin de table est bien garni....)
Passons à tes questions..
1/ Comment accéder à l’intérieur des bogies et les ôter sans rien déglinguer ?
---Sur cette Micheline , ATLAS à fait des boggies faciles à traiter , ce qui n'est pas tjrs le cas...Il n'empêche qu'étant en HOm, il va falloir s'adapter aux travaux de cette échelle, mais , si je dis ceci , c'est parce que nous nous y faisons rapidement...
çà m'a d'ailleurs surpris, je n'avais jamais fait aussi petit....
Ces boggies sont montés sur pivots, il suffit d'aller dévisser les têtes de vis cruciformes , visibles au fond de leur puits.....Mais, la première fois....ATTENTION.....Ces vis peuvent être dures à dévisser , il à un grand risque de maltraiter l'empreinte...
Alors, il faut se fabriquer (a la meule), à partir d'un tournevis plat (et non cruciforme), une forme de lame qui vas venir s'ajuster à plat (moitié de l'empreinte) et s'incruster très profond dans cette demi-empreinte cruciforme. Il faut se choisir un tournevis ayant un manche très préhensible.
Lors du premier dévissage, il faudra appuyer franchement cet outil pour qu'il reste a fond d'empreinte , et là , l'effort de dévissage pourra être maitrisé sans abimer cette tête de vis.
Les boggies enlevés, nous pouvons extraire les roues d'origine qui ne sont maintenues que par la plaque de fermeture, elle même simplement tenue par deux vis (plus faciles à démonter que celle du pivot...)
Ne rien perdre...ces vis reservirons...!!
Voici, on peu enlever les roues et essieux d'origine...leur axe faisant 1.5 mm, pour moi il m'a fallu ajuster les coussinets à 2mm, mes roues de 9mm étant montées sur ce type d'axe.
2/ Où trouver des roues de 9 mm bandagées ?
Les roues de 9 mm bandagées , à ma connaissance , n'existent pas.....Elles sont à équiper et font partie de l'aventure...
Alors, moi , j'achete toutes mes roues chez "Limousin Modélisme Train", les ayant essayées , elles me conviennent parfaitement...De plus, ce site est géré par un gars trés connaisseur et sympathique...
Visite-le et cherche la rubrique de ses roues, tu vas voir qu'il est achalandé..
----Ses roues de 9 mm ont plusieurs réferences....moi je prends ====>Ref LMT 37. Il s'agit de paquets de 12 essieux dont les axes font 2 mm x 25.4 et sont à pointes, valables eventuellement pour le "Jouef".
----Il te faudra faire tes gorges pour bandager, donc il te faudra aussi lui acheter les bandages qui vont bien pour ce diametre de roue. Il vend donc aussi ces bandages "ROCO" sous la ref 40073. Ce sont des sachets de 10 unités
Lors des adaptations de ces roues sur les boggies, il te faudra bien sur, d'une part changer l'écartement HO en HOm , et d'autre part, éliminer les bouts d'essieux à pointe.Mais tout ceci va de soit.
La seule modif importante, ici , étant la réalisation des gorges sur l'un des essieux....Pour ceux qui ont un petit tour, c'est simple..et pour les autres , ben , moi je me sert de ma "DREMEL" et d'un outil minus à tronçoner, fabrication maison à partir d'une lime aiguille..
Je travaille "En l'air", terme définisant la méthode employée, fort connue en modélisme du vieux temps.....ha..!! ces anciens, ils en connaissaient des trucs...ils nous ont laissé leur savoir heureusement.
3/ Comment t’y es-tu pris pour ouvrir le châssis au niveau des bogies ?(trous tangents, scie, fraiseuse ?)
Oui, avec une monture de scie à chantourner équipée d'une lame vrillée.
Evidement je me fais d'abord un tracé le plus précis possible, puis je fais un trou de départ par évidement pour engager la lame. Ce métal se laisse découper, il suffit de bien régler la tension et surtout de ne pas appuyer très fort.
Le bon suivi du trait permet d'éviter des reprises à la lime, ce zamac n'aime pas les limes à dentures trop fines , un beau sciage permet d'aller plus vite.
Attention lors de l'exécution de ces ouvertures, le châssis doit-être maintenu fermement dans l'étau, il faut tjrs scier le plus près possible du serrage. les vibrations engendrées par les dents de la scie peuvent déclencher des oscillations et causer la rupture du châssis.
Ceci implique le déplacement du châssis dans l'étau au fur et à mesure du sciage. Ce point est à bien prendre en compte avant de faire le trou du départ , il faut anticiper le parcours de chaque sciage.
L'ouverture pour le passage de la motorisation est la plus risquée car elle oblige latéralement un sciage très près des bords du châssis...Alors, y pensez avant car pas de rechange possible.
4/ Qu’entends-tu par prises gigogne bien pratiques pour démontage ?
Le plus gros pb dans la motorisation des p'tits train est celui d'apporter le courant aux bornes du moteur...
Depuis longtemps, nous savons qu'il faut multiplier les points de prise de courant sur la voie qui est loin d'être parfaite en planéité .
Ici, il s'agit de donner de la vie à une maquette, la faire rouler , quoi..Donc inutile de pousser le bouchon plus loin que nécessaire, d'où pour ma part , la motorisation la plus simple possible sur un seul essieu...
Jusqu'ici, j'ai traité toutes mes motorisations "ATLAS" suivant ce schéma...Je me suis imposé également de respecter la philosophie ATLAS voulue pour ces deux collections..c'est à dire que chaque modèle reste intégralement le modèle reçu.
J'ai alors tout motorisé en conservant les boggies d'origine et me suis efforcé que ce soit le plus discret possible, enfin, disons que j'ai essayé.
Revenons à cette "Micheline"....
Le fait de ne motoriser qu'un seul essieu pose le pb de l'adhérence, le choix de l'équiper de bandages donne un plus à celle-ci, mais un moins au pb du captage..Alors, le choix de placer cette motorisation tout à l'AR n'est pas anodin.
(.Bien d'autres paramètres seraient à développer ici aussi..Nous en discuterons plus tard si tu le veux..)
J'ai donc multiplié les points de captage, soit sur toutes les roues, y compris sur celles qui ont des bandages car elles prennent elles aussi par les boudins, et justement, là où c'est utile, quand çà tourne surtout sur les appareils de voie en dérivation.
Alors, me voici avec des boggies équipés de lamelles frottant les flancs internes des roues...ces prises sont groupées sur deux points par boggies....Idem sur les deux boggies...
J'aurais pu pour allez plus vite, réunir ces points par soudage de fils baladeurs, allant en vadrouille aux bornes du moteur....Imagine à chaque ouverture du modèle le foisonnement à démêler, autant à l'ouverture qu'à la fermeture.(ne parlons pas des risques d'arrachages, mais ils existent)
D'où ce principe mécanique de pièces se superposant et en même temps se transmettant les courant reçus...Regarde bien les images affichées plus haut, et tu vas comprendre à quoi servent ces fils de cuivre tordus symétriquement et venant s'appuyer sur des lames flexibles au droit des pivots....
Résultat ===> plus de soucis avec ces fils baladeurs, le fait de fermer le modèle met en contact souple, tout le circuit utile....
Il est possible aussi, à partir de cette gestion "Gigogne" d'ajouter des touches pour aller aux éventuels éclairages...je n'ai pas voulu pousser à ce point...un jour , peut-être...!!
5/ Une dernière question pour l’instant, quel est le rapport de réduction ou le nombre de dents du pignon moteur et le module de l’ensemble roue et vis sans fin ? (0,3 – 0,5) ?
Le moteur que tu peux voir sur cette "Micheline" à été acheté chez "Micro Modéles"
Voici le lien, tu vas le reconnaitre, c'est une ancienne réference de Jouef qui est vendu avec sa vis sans fin (Module 0.4, )
http://www.micro-modele.fr/index.php?option=com_virtuemart&page=shop.browse&category_id=225&Itemid=19&lang=fr
quant à la roue tangente ,
http://www.micro-modele.fr/index.php?option=com_virtuemart&page=shop.browse&category_id=879&Itemid=19&lang=fr&orderby=product_list&DescOrderBy=ASC sa reference est HO 51/1
Cette roue ayant 10 dents, et la vis tangente n'ayant qu'à un seul filet, le rapport de réduction est donc de 10.
Alors ami "JDJ", voici quelques infos en attendant plus si tu le souhaite...
Bonne nuit à toi..moi ==> j'y vais...
Amicalement,
jean.
Oulala , ami "JDJ", si tu poses toutes ces questions, c'est que tu vas m'obliger à t'expliquer ma façon de faire de manière approfondie..
Ceci risque d'être trop long et pénible à lire...Aussi, je ne vais commencer par répondre succinctement qu'aux questions de 1 à 5.....puis nous verrons ensuite s'il faut détailler plus.
A savoir,
Je travaille sur un coin de table, je n'ai aucune machines spécifiques au modélisme telles que tour ou fraiseuse , je ne possède et ce, depuis les années 60 , que des outillages à main..
Grande diversité de limes de toutes formes , de toutes tailles (Mon métier d'origine était celui d'ajusteur Outilleur). ceci, déjà, sous-entends, que le travail manuel sur matière m'est assez connu.
Si toi aussi possèdes une formation de ce type, çà va aider....bref..
Je possède aussi plusieurs petites perceuses, meuleuses, miniature....Sans elles , rien de possible dans ce contexte "coin de table"...
Outil de base à posséder obligatoirement , un petit étau "de qualité" monté sur base tournante. Le mien possède un bridage manuel pour pouvoir être accroché très solidement sur ma surface de travail..
Cette surface de travail n'est autre que ce que nous prenons comme dessous d'évier lorsque nous faisons nous-même nos cuisines aménagées, (épaisseur 40 mm, planéité idoine,revêtement stratifié très dur..)
J'avais rectifié les mords pour déjà , ne pas marquer, puis pour avoir un guidage lors de découpe ou autres....c'est très important en modélisme.
En gros, l'outillage classique du bricoleur.....pour tout le reste....Mais ce reste est grand , il en faut des trucs et des machins qui s'avèrent indispensables....(Le coin de table est bien garni....)
Passons à tes questions..
1/ Comment accéder à l’intérieur des bogies et les ôter sans rien déglinguer ?
---Sur cette Micheline , ATLAS à fait des boggies faciles à traiter , ce qui n'est pas tjrs le cas...Il n'empêche qu'étant en HOm, il va falloir s'adapter aux travaux de cette échelle, mais , si je dis ceci , c'est parce que nous nous y faisons rapidement...
çà m'a d'ailleurs surpris, je n'avais jamais fait aussi petit....
Ces boggies sont montés sur pivots, il suffit d'aller dévisser les têtes de vis cruciformes , visibles au fond de leur puits.....Mais, la première fois....ATTENTION.....Ces vis peuvent être dures à dévisser , il à un grand risque de maltraiter l'empreinte...
Alors, il faut se fabriquer (a la meule), à partir d'un tournevis plat (et non cruciforme), une forme de lame qui vas venir s'ajuster à plat (moitié de l'empreinte) et s'incruster très profond dans cette demi-empreinte cruciforme. Il faut se choisir un tournevis ayant un manche très préhensible.
Lors du premier dévissage, il faudra appuyer franchement cet outil pour qu'il reste a fond d'empreinte , et là , l'effort de dévissage pourra être maitrisé sans abimer cette tête de vis.
Les boggies enlevés, nous pouvons extraire les roues d'origine qui ne sont maintenues que par la plaque de fermeture, elle même simplement tenue par deux vis (plus faciles à démonter que celle du pivot...)
Ne rien perdre...ces vis reservirons...!!
Voici, on peu enlever les roues et essieux d'origine...leur axe faisant 1.5 mm, pour moi il m'a fallu ajuster les coussinets à 2mm, mes roues de 9mm étant montées sur ce type d'axe.
2/ Où trouver des roues de 9 mm bandagées ?
Les roues de 9 mm bandagées , à ma connaissance , n'existent pas.....Elles sont à équiper et font partie de l'aventure...
Alors, moi , j'achete toutes mes roues chez "Limousin Modélisme Train", les ayant essayées , elles me conviennent parfaitement...De plus, ce site est géré par un gars trés connaisseur et sympathique...
Visite-le et cherche la rubrique de ses roues, tu vas voir qu'il est achalandé..
----Ses roues de 9 mm ont plusieurs réferences....moi je prends ====>Ref LMT 37. Il s'agit de paquets de 12 essieux dont les axes font 2 mm x 25.4 et sont à pointes, valables eventuellement pour le "Jouef".
----Il te faudra faire tes gorges pour bandager, donc il te faudra aussi lui acheter les bandages qui vont bien pour ce diametre de roue. Il vend donc aussi ces bandages "ROCO" sous la ref 40073. Ce sont des sachets de 10 unités
Lors des adaptations de ces roues sur les boggies, il te faudra bien sur, d'une part changer l'écartement HO en HOm , et d'autre part, éliminer les bouts d'essieux à pointe.Mais tout ceci va de soit.
La seule modif importante, ici , étant la réalisation des gorges sur l'un des essieux....Pour ceux qui ont un petit tour, c'est simple..et pour les autres , ben , moi je me sert de ma "DREMEL" et d'un outil minus à tronçoner, fabrication maison à partir d'une lime aiguille..
Je travaille "En l'air", terme définisant la méthode employée, fort connue en modélisme du vieux temps.....ha..!! ces anciens, ils en connaissaient des trucs...ils nous ont laissé leur savoir heureusement.
3/ Comment t’y es-tu pris pour ouvrir le châssis au niveau des bogies ?(trous tangents, scie, fraiseuse ?)
Oui, avec une monture de scie à chantourner équipée d'une lame vrillée.
Evidement je me fais d'abord un tracé le plus précis possible, puis je fais un trou de départ par évidement pour engager la lame. Ce métal se laisse découper, il suffit de bien régler la tension et surtout de ne pas appuyer très fort.
Le bon suivi du trait permet d'éviter des reprises à la lime, ce zamac n'aime pas les limes à dentures trop fines , un beau sciage permet d'aller plus vite.
Attention lors de l'exécution de ces ouvertures, le châssis doit-être maintenu fermement dans l'étau, il faut tjrs scier le plus près possible du serrage. les vibrations engendrées par les dents de la scie peuvent déclencher des oscillations et causer la rupture du châssis.
Ceci implique le déplacement du châssis dans l'étau au fur et à mesure du sciage. Ce point est à bien prendre en compte avant de faire le trou du départ , il faut anticiper le parcours de chaque sciage.
L'ouverture pour le passage de la motorisation est la plus risquée car elle oblige latéralement un sciage très près des bords du châssis...Alors, y pensez avant car pas de rechange possible.
4/ Qu’entends-tu par prises gigogne bien pratiques pour démontage ?
Le plus gros pb dans la motorisation des p'tits train est celui d'apporter le courant aux bornes du moteur...
Depuis longtemps, nous savons qu'il faut multiplier les points de prise de courant sur la voie qui est loin d'être parfaite en planéité .
Ici, il s'agit de donner de la vie à une maquette, la faire rouler , quoi..Donc inutile de pousser le bouchon plus loin que nécessaire, d'où pour ma part , la motorisation la plus simple possible sur un seul essieu...
Jusqu'ici, j'ai traité toutes mes motorisations "ATLAS" suivant ce schéma...Je me suis imposé également de respecter la philosophie ATLAS voulue pour ces deux collections..c'est à dire que chaque modèle reste intégralement le modèle reçu.
J'ai alors tout motorisé en conservant les boggies d'origine et me suis efforcé que ce soit le plus discret possible, enfin, disons que j'ai essayé.
Revenons à cette "Micheline"....
Le fait de ne motoriser qu'un seul essieu pose le pb de l'adhérence, le choix de l'équiper de bandages donne un plus à celle-ci, mais un moins au pb du captage..Alors, le choix de placer cette motorisation tout à l'AR n'est pas anodin.
(.Bien d'autres paramètres seraient à développer ici aussi..Nous en discuterons plus tard si tu le veux..)
J'ai donc multiplié les points de captage, soit sur toutes les roues, y compris sur celles qui ont des bandages car elles prennent elles aussi par les boudins, et justement, là où c'est utile, quand çà tourne surtout sur les appareils de voie en dérivation.
Alors, me voici avec des boggies équipés de lamelles frottant les flancs internes des roues...ces prises sont groupées sur deux points par boggies....Idem sur les deux boggies...
J'aurais pu pour allez plus vite, réunir ces points par soudage de fils baladeurs, allant en vadrouille aux bornes du moteur....Imagine à chaque ouverture du modèle le foisonnement à démêler, autant à l'ouverture qu'à la fermeture.(ne parlons pas des risques d'arrachages, mais ils existent)
D'où ce principe mécanique de pièces se superposant et en même temps se transmettant les courant reçus...Regarde bien les images affichées plus haut, et tu vas comprendre à quoi servent ces fils de cuivre tordus symétriquement et venant s'appuyer sur des lames flexibles au droit des pivots....
Résultat ===> plus de soucis avec ces fils baladeurs, le fait de fermer le modèle met en contact souple, tout le circuit utile....
Il est possible aussi, à partir de cette gestion "Gigogne" d'ajouter des touches pour aller aux éventuels éclairages...je n'ai pas voulu pousser à ce point...un jour , peut-être...!!
5/ Une dernière question pour l’instant, quel est le rapport de réduction ou le nombre de dents du pignon moteur et le module de l’ensemble roue et vis sans fin ? (0,3 – 0,5) ?
Le moteur que tu peux voir sur cette "Micheline" à été acheté chez "Micro Modéles"
Voici le lien, tu vas le reconnaitre, c'est une ancienne réference de Jouef qui est vendu avec sa vis sans fin (Module 0.4, )
http://www.micro-modele.fr/index.php?option=com_virtuemart&page=shop.browse&category_id=225&Itemid=19&lang=fr
quant à la roue tangente ,
http://www.micro-modele.fr/index.php?option=com_virtuemart&page=shop.browse&category_id=879&Itemid=19&lang=fr&orderby=product_list&DescOrderBy=ASC sa reference est HO 51/1
Cette roue ayant 10 dents, et la vis tangente n'ayant qu'à un seul filet, le rapport de réduction est donc de 10.
Alors ami "JDJ", voici quelques infos en attendant plus si tu le souhaite...
Bonne nuit à toi..moi ==> j'y vais...
Amicalement,
jean.
boisavia- moi je reste
-
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Age : 89
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Date d'inscription : 21/05/2013
Re: La Micheline type 51 ATLAS chez boisavia le 9 Aout 2015
Bonsoir "JDJ",
Oulala , ami "JDJ", si tu poses toutes ces questions, c'est que tu vas m'obliger à t'expliquer ma façon de faire de manière approfondie..
Ceci risque d'être trop long et pénible à lire...Aussi, je ne vais commencer par répondre succinctement qu'aux questions de 1 à 5.....puis nous verrons ensuite s'il faut détailler plus.
A savoir,
Je travaille sur un coin de table, je n'ai aucune machines spécifiques au modélisme telles que tour ou fraiseuse , je ne possède et ce, depuis les années 60 , que des outillages à main..
Grande diversité de limes de toutes formes , de toutes tailles (Mon métier d'origine était celui d'ajusteur Outilleur). ceci, déjà, sous-entends, que le travail manuel sur matière m'est assez connu.
Si toi aussi possèdes une formation de ce type, çà va aider....bref..
Je possède aussi plusieurs petites perceuses, meuleuses, miniature....Sans elles , rien de possible dans ce contexte "coin de table"...
Outil de base à posséder obligatoirement , un petit étau "de qualité" monté sur base tournante. Le mien possède un bridage manuel pour pouvoir être accroché très solidement sur ma surface de travail..
Cette surface de travail n'est autre que ce que nous prenons comme dessous d'évier lorsque nous faisons nous-même nos cuisines aménagées, (épaisseur 40 mm, planéité idoine,revêtement stratifié très dur..)
J'avais rectifié les mords pour déjà , ne pas marquer, puis pour avoir un guidage lors de découpe ou autres....c'est très important en modélisme.
En gros, l'outillage classique du bricoleur.....pour tout le reste....Mais ce reste est grand , il en faut des trucs et des machins qui s'avèrent indispensables....(Le coin de table est bien garni....)
Passons à tes questions..
1/ Comment accéder à l’intérieur des bogies et les ôter sans rien déglinguer ?
---Sur cette Micheline , ATLAS à fait des boggies faciles à traiter , ce qui n'est pas tjrs le cas...Il n'empêche qu'étant en HOm, il va falloir s'adapter aux travaux de cette échelle, mais , si je dis ceci , c'est parce que nous nous y faisons rapidement...
çà m'a d'ailleurs surpris, je n'avais jamais fait aussi petit....
Ces boggies sont montés sur pivots, il suffit d'aller dévisser les têtes de vis cruciformes , visibles au fond de leur puits.....Mais, la première fois....ATTENTION.....Ces vis peuvent être dures à dévisser , il à un grand risque de maltraiter l'empreinte...
Alors, il faut se fabriquer (a la meule), à partir d'un tournevis plat (et non cruciforme), une forme de lame qui vas venir s'ajuster à plat (moitié de l'empreinte) et s'incruster très profond dans cette demi-empreinte cruciforme. Il faut se choisir un tournevis ayant un manche très préhensible.
Lors du premier dévissage, il faudra appuyer franchement cet outil pour qu'il reste a fond d'empreinte , et là , l'effort de dévissage pourra être maitrisé sans abimer cette tête de vis.
Les boggies enlevés, nous pouvons extraire les roues d'origine qui ne sont maintenues que par la plaque de fermeture, elle même simplement tenue par deux vis (plus faciles à démonter que celle du pivot...)
Ne rien perdre...ces vis reservirons...!!
Voici, on peu enlever les roues et essieux d'origine...leur axe faisant 1.5 mm, pour moi il m'a fallu ajuster les coussinets à 2mm, mes roues de 9mm étant montées sur ce type d'axe.
2/ Où trouver des roues de 9 mm bandagées ?
Les roues de 9 mm bandagées , à ma connaissance , n'existent pas.....Elles sont à équiper et font partie de l'aventure...
Alors, moi , j'achete toutes mes roues chez "Limousin Modélisme Train", les ayant essayées , elles me conviennent parfaitement...De plus, ce site est géré par un gars trés connaisseur et sympathique...
Visite-le et cherche la rubrique de ses roues, tu vas voir qu'il est achalandé..
----Ses roues de 9 mm ont plusieurs réferences....moi je prends ====>Ref LMT 37. Il s'agit de paquets de 12 essieux dont les axes font 2 mm x 25.4 et sont à pointes, valables eventuellement pour le "Jouef".
----Il te faudra faire tes gorges pour bandager, donc il te faudra aussi lui acheter les bandages qui vont bien pour ce diametre de roue. Il vend donc aussi ces bandages "ROCO" sous la ref 40073. Ce sont des sachets de 10 unités
Lors des adaptations de ces roues sur les boggies, il te faudra bien sur, d'une part changer l'écartement HO en HOm , et d'autre part, éliminer les bouts d'essieux à pointe.Mais tout ceci va de soit.
La seule modif importante, ici , étant la réalisation des gorges sur l'un des essieux....Pour ceux qui ont un petit tour, c'est simple..et pour les autres , ben , moi je me sert de ma "DREMEL" et d'un outil minus à tronçoner, fabrication maison à partir d'une lime aiguille..
Je travaille "En l'air", terme définisant la méthode employée, fort connue en modélisme du vieux temps.....ha..!! ces anciens, ils en connaissaient des trucs...ils nous ont laissé leur savoir heureusement.
3/ Comment t’y es-tu pris pour ouvrir le châssis au niveau des bogies ?(trous tangents, scie, fraiseuse ?)
Oui, avec une monture de scie à chantourner équipée d'une lame vrillée.
Evidement je me fais d'abord un tracé le plus précis possible, puis je fais un trou de départ par évidement pour engager la lame. Ce métal se laisse découper, il suffit de bien régler la tension et surtout de ne pas appuyer très fort.
Le bon suivi du trait permet d'éviter des reprises à la lime, ce zamac n'aime pas les limes à dentures trop fines , un beau sciage permet d'aller plus vite.
Attention lors de l'exécution de ces ouvertures, le châssis doit-être maintenu fermement dans l'étau, il faut tjrs scier le plus près possible du serrage. les vibrations engendrées par les dents de la scie peuvent déclencher des oscillations et causer la rupture du châssis.
Ceci implique le déplacement du châssis dans l'étau au fur et à mesure du sciage. Ce point est à bien prendre en compte avant de faire le trou du départ , il faut anticiper le parcours de chaque sciage.
L'ouverture pour le passage de la motorisation est la plus risquée car elle oblige latéralement un sciage très près des bords du châssis...Alors, y pensez avant car pas de rechange possible.
4/ Qu’entends-tu par prises gigogne bien pratiques pour démontage ?
Le plus gros pb dans la motorisation des p'tits train est celui d'apporter le courant aux bornes du moteur...
Depuis longtemps, nous savons qu'il faut multiplier les points de prise de courant sur la voie qui est loin d'être parfaite en planéité .
Ici, il s'agit de donner de la vie à une maquette, la faire rouler , quoi..Donc inutile de pousser le bouchon plus loin que nécessaire, d'où pour ma part , la motorisation la plus simple possible sur un seul essieu...
Jusqu'ici, j'ai traité toutes mes motorisations "ATLAS" suivant ce schéma...Je me suis imposé également de respecter la philosophie ATLAS voulue pour ces deux collections..c'est à dire que chaque modèle reste intégralement le modèle reçu.
J'ai alors tout motorisé en conservant les boggies d'origine et me suis efforcé que ce soit le plus discret possible, enfin, disons que j'ai essayé.
Revenons à cette "Micheline"....
Le fait de ne motoriser qu'un seul essieu pose le pb de l'adhérence, le choix de l'équiper de bandages donne un plus à celle-ci, mais un moins au pb du captage..Alors, le choix de placer cette motorisation tout à l'AR n'est pas anodin.
(.Bien d'autres paramètres seraient à développer ici aussi..Nous en discuterons plus tard si tu le veux..)
J'ai donc multiplié les points de captage, soit sur toutes les roues, y compris sur celles qui ont des bandages car elles prennent elles aussi par les boudins, et justement, là où c'est utile, quand çà tourne surtout sur les appareils de voie en dérivation.
Alors, me voici avec des boggies équipés de lamelles frottant les flancs internes des roues...ces prises sont groupées sur deux points par boggies....Idem sur les deux boggies...
J'aurais pu pour allez plus vite, réunir ces points par soudage de fils baladeurs, allant en vadrouille aux bornes du moteur....Imagine à chaque ouverture du modèle le foisonnement à démêler, autant à l'ouverture qu'à la fermeture.(ne parlons pas des risques d'arrachages, mais ils existent)
D'où ce principe mécanique de pièces se superposant et en même temps se transmettant les courant reçus...Regarde bien les images affichées plus haut, et tu vas comprendre à quoi servent ces fils de cuivre tordus symétriquement et venant s'appuyer sur des lames flexibles au droit des pivots....
Résultat ===> plus de soucis avec ces fils baladeurs, le fait de fermer le modèle met en contact souple, tout le circuit utile....
Il est possible aussi, à partir de cette gestion "Gigogne" d'ajouter des touches pour aller aux éventuels éclairages...je n'ai pas voulu pousser à ce point...un jour , peut-être...!!
5/ Une dernière question pour l’instant, quel est le rapport de réduction ou le nombre de dents du pignon moteur et le module de l’ensemble roue et vis sans fin ? (0,3 – 0,5) ?
Le moteur que tu peux voir sur cette "Micheline" à été acheté chez "Micro Modéles"
Voici le lien, tu vas le reconnaitre, c'est une ancienne réference de Jouef qui est vendu avec sa vis sans fin (Module 0.4, )
http://www.micro-modele.fr/index.php?option=com_virtuemart&page=shop.browse&category_id=225&Itemid=19&lang=fr
quant à la roue tangente ,
http://www.micro-modele.fr/index.php?option=com_virtuemart&page=shop.browse&category_id=879&Itemid=19&lang=fr&orderby=product_list&DescOrderBy=ASC sa reference est HO 51/1
Cette roue ayant 10 dents, et la vis tangente n'ayant qu'à un seul filet, le rapport de réduction est donc de 10.
Alors ami "JDJ", voici quelques infos en attendant plus si tu le souhaite...
Bonne nuit à toi..moi ==> j'y vais...
Amicalement,
jean.
Oulala , ami "JDJ", si tu poses toutes ces questions, c'est que tu vas m'obliger à t'expliquer ma façon de faire de manière approfondie..
Ceci risque d'être trop long et pénible à lire...Aussi, je ne vais commencer par répondre succinctement qu'aux questions de 1 à 5.....puis nous verrons ensuite s'il faut détailler plus.
A savoir,
Je travaille sur un coin de table, je n'ai aucune machines spécifiques au modélisme telles que tour ou fraiseuse , je ne possède et ce, depuis les années 60 , que des outillages à main..
Grande diversité de limes de toutes formes , de toutes tailles (Mon métier d'origine était celui d'ajusteur Outilleur). ceci, déjà, sous-entends, que le travail manuel sur matière m'est assez connu.
Si toi aussi possèdes une formation de ce type, çà va aider....bref..
Je possède aussi plusieurs petites perceuses, meuleuses, miniature....Sans elles , rien de possible dans ce contexte "coin de table"...
Outil de base à posséder obligatoirement , un petit étau "de qualité" monté sur base tournante. Le mien possède un bridage manuel pour pouvoir être accroché très solidement sur ma surface de travail..
Cette surface de travail n'est autre que ce que nous prenons comme dessous d'évier lorsque nous faisons nous-même nos cuisines aménagées, (épaisseur 40 mm, planéité idoine,revêtement stratifié très dur..)
J'avais rectifié les mords pour déjà , ne pas marquer, puis pour avoir un guidage lors de découpe ou autres....c'est très important en modélisme.
En gros, l'outillage classique du bricoleur.....pour tout le reste....Mais ce reste est grand , il en faut des trucs et des machins qui s'avèrent indispensables....(Le coin de table est bien garni....)
Passons à tes questions..
1/ Comment accéder à l’intérieur des bogies et les ôter sans rien déglinguer ?
---Sur cette Micheline , ATLAS à fait des boggies faciles à traiter , ce qui n'est pas tjrs le cas...Il n'empêche qu'étant en HOm, il va falloir s'adapter aux travaux de cette échelle, mais , si je dis ceci , c'est parce que nous nous y faisons rapidement...
çà m'a d'ailleurs surpris, je n'avais jamais fait aussi petit....
Ces boggies sont montés sur pivots, il suffit d'aller dévisser les têtes de vis cruciformes , visibles au fond de leur puits.....Mais, la première fois....ATTENTION.....Ces vis peuvent être dures à dévisser , il à un grand risque de maltraiter l'empreinte...
Alors, il faut se fabriquer (a la meule), à partir d'un tournevis plat (et non cruciforme), une forme de lame qui vas venir s'ajuster à plat (moitié de l'empreinte) et s'incruster très profond dans cette demi-empreinte cruciforme. Il faut se choisir un tournevis ayant un manche très préhensible.
Lors du premier dévissage, il faudra appuyer franchement cet outil pour qu'il reste a fond d'empreinte , et là , l'effort de dévissage pourra être maitrisé sans abimer cette tête de vis.
Les boggies enlevés, nous pouvons extraire les roues d'origine qui ne sont maintenues que par la plaque de fermeture, elle même simplement tenue par deux vis (plus faciles à démonter que celle du pivot...)
Ne rien perdre...ces vis reservirons...!!
Voici, on peu enlever les roues et essieux d'origine...leur axe faisant 1.5 mm, pour moi il m'a fallu ajuster les coussinets à 2mm, mes roues de 9mm étant montées sur ce type d'axe.
2/ Où trouver des roues de 9 mm bandagées ?
Les roues de 9 mm bandagées , à ma connaissance , n'existent pas.....Elles sont à équiper et font partie de l'aventure...
Alors, moi , j'achete toutes mes roues chez "Limousin Modélisme Train", les ayant essayées , elles me conviennent parfaitement...De plus, ce site est géré par un gars trés connaisseur et sympathique...
Visite-le et cherche la rubrique de ses roues, tu vas voir qu'il est achalandé..
----Ses roues de 9 mm ont plusieurs réferences....moi je prends ====>Ref LMT 37. Il s'agit de paquets de 12 essieux dont les axes font 2 mm x 25.4 et sont à pointes, valables eventuellement pour le "Jouef".
----Il te faudra faire tes gorges pour bandager, donc il te faudra aussi lui acheter les bandages qui vont bien pour ce diametre de roue. Il vend donc aussi ces bandages "ROCO" sous la ref 40073. Ce sont des sachets de 10 unités
Lors des adaptations de ces roues sur les boggies, il te faudra bien sur, d'une part changer l'écartement HO en HOm , et d'autre part, éliminer les bouts d'essieux à pointe.Mais tout ceci va de soit.
La seule modif importante, ici , étant la réalisation des gorges sur l'un des essieux....Pour ceux qui ont un petit tour, c'est simple..et pour les autres , ben , moi je me sert de ma "DREMEL" et d'un outil minus à tronçoner, fabrication maison à partir d'une lime aiguille..
Je travaille "En l'air", terme définisant la méthode employée, fort connue en modélisme du vieux temps.....ha..!! ces anciens, ils en connaissaient des trucs...ils nous ont laissé leur savoir heureusement.
3/ Comment t’y es-tu pris pour ouvrir le châssis au niveau des bogies ?(trous tangents, scie, fraiseuse ?)
Oui, avec une monture de scie à chantourner équipée d'une lame vrillée.
Evidement je me fais d'abord un tracé le plus précis possible, puis je fais un trou de départ par évidement pour engager la lame. Ce métal se laisse découper, il suffit de bien régler la tension et surtout de ne pas appuyer très fort.
Le bon suivi du trait permet d'éviter des reprises à la lime, ce zamac n'aime pas les limes à dentures trop fines , un beau sciage permet d'aller plus vite.
Attention lors de l'exécution de ces ouvertures, le châssis doit-être maintenu fermement dans l'étau, il faut tjrs scier le plus près possible du serrage. les vibrations engendrées par les dents de la scie peuvent déclencher des oscillations et causer la rupture du châssis.
Ceci implique le déplacement du châssis dans l'étau au fur et à mesure du sciage. Ce point est à bien prendre en compte avant de faire le trou du départ , il faut anticiper le parcours de chaque sciage.
L'ouverture pour le passage de la motorisation est la plus risquée car elle oblige latéralement un sciage très près des bords du châssis...Alors, y pensez avant car pas de rechange possible.
4/ Qu’entends-tu par prises gigogne bien pratiques pour démontage ?
Le plus gros pb dans la motorisation des p'tits train est celui d'apporter le courant aux bornes du moteur...
Depuis longtemps, nous savons qu'il faut multiplier les points de prise de courant sur la voie qui est loin d'être parfaite en planéité .
Ici, il s'agit de donner de la vie à une maquette, la faire rouler , quoi..Donc inutile de pousser le bouchon plus loin que nécessaire, d'où pour ma part , la motorisation la plus simple possible sur un seul essieu...
Jusqu'ici, j'ai traité toutes mes motorisations "ATLAS" suivant ce schéma...Je me suis imposé également de respecter la philosophie ATLAS voulue pour ces deux collections..c'est à dire que chaque modèle reste intégralement le modèle reçu.
J'ai alors tout motorisé en conservant les boggies d'origine et me suis efforcé que ce soit le plus discret possible, enfin, disons que j'ai essayé.
Revenons à cette "Micheline"....
Le fait de ne motoriser qu'un seul essieu pose le pb de l'adhérence, le choix de l'équiper de bandages donne un plus à celle-ci, mais un moins au pb du captage..Alors, le choix de placer cette motorisation tout à l'AR n'est pas anodin.
(.Bien d'autres paramètres seraient à développer ici aussi..Nous en discuterons plus tard si tu le veux..)
J'ai donc multiplié les points de captage, soit sur toutes les roues, y compris sur celles qui ont des bandages car elles prennent elles aussi par les boudins, et justement, là où c'est utile, quand çà tourne surtout sur les appareils de voie en dérivation.
Alors, me voici avec des boggies équipés de lamelles frottant les flancs internes des roues...ces prises sont groupées sur deux points par boggies....Idem sur les deux boggies...
J'aurais pu pour allez plus vite, réunir ces points par soudage de fils baladeurs, allant en vadrouille aux bornes du moteur....Imagine à chaque ouverture du modèle le foisonnement à démêler, autant à l'ouverture qu'à la fermeture.(ne parlons pas des risques d'arrachages, mais ils existent)
D'où ce principe mécanique de pièces se superposant et en même temps se transmettant les courant reçus...Regarde bien les images affichées plus haut, et tu vas comprendre à quoi servent ces fils de cuivre tordus symétriquement et venant s'appuyer sur des lames flexibles au droit des pivots....
Résultat ===> plus de soucis avec ces fils baladeurs, le fait de fermer le modèle met en contact souple, tout le circuit utile....
Il est possible aussi, à partir de cette gestion "Gigogne" d'ajouter des touches pour aller aux éventuels éclairages...je n'ai pas voulu pousser à ce point...un jour , peut-être...!!
5/ Une dernière question pour l’instant, quel est le rapport de réduction ou le nombre de dents du pignon moteur et le module de l’ensemble roue et vis sans fin ? (0,3 – 0,5) ?
Le moteur que tu peux voir sur cette "Micheline" à été acheté chez "Micro Modéles"
Voici le lien, tu vas le reconnaitre, c'est une ancienne réference de Jouef qui est vendu avec sa vis sans fin (Module 0.4, )
http://www.micro-modele.fr/index.php?option=com_virtuemart&page=shop.browse&category_id=225&Itemid=19&lang=fr
quant à la roue tangente ,
http://www.micro-modele.fr/index.php?option=com_virtuemart&page=shop.browse&category_id=879&Itemid=19&lang=fr&orderby=product_list&DescOrderBy=ASC sa reference est HO 51/1
Cette roue ayant 10 dents, et la vis tangente n'ayant qu'à un seul filet, le rapport de réduction est donc de 10.
Alors ami "JDJ", voici quelques infos en attendant plus si tu le souhaite...
Bonne nuit à toi..moi ==> j'y vais...
Amicalement,
jean.
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