Motorisation facile
2 participants
Page 1 sur 1
Motorisation facile
Je vais partager mes bricolages .. sans prétention.
Ce sont des réalisations simples, réalisées avec peu de moyens (je ne maitrise pas vraiment le tour à métaux).
Une perceuse suffit à percer "selon des pointillés (les trous)" une découpe qu'une lime douce approche du gabarit final.
Cet autorail est d'autant plus intéressant qu'il serait facile à motoriser.
J'utilise des essieux (roues de 9 mm) achetés chez Limousin Modélisme sur lesquels un engrenage hypoïde se fixe simplement (axe de 2 mm). Il suffit d'aléser avec un foret (je ne dispose pas d'alésoir) les carters d'origine.
Le papier quadrillé en second plan donne une idée des côtes.
Le carter 'moteur' est bouché d'un côté par une plaque alu collée à l'époxy: cette colle bicomposant est intéressante dans le sens où elle durcit progressivement et, fraichement durcie, se ramollit au décapeur thermique pour être décollée au bistouri de chirurgien dentiste (que l'on trouve dans les foires au jambon ou brocantes d'électronique, d'anciennes voitures, .. ).
Le couvercle du carter 'porteur' est réalisé par une simple tige de rivet 'pop' sertie dans le carter (deux petits coup de fraise + encastrement + 2 points de colle epoxy) pour obtenir un 'pseudo' essieu oscillant: les contacts rail/roues en sont grandement facilités.
Dans mes cartons, un moteur se prête particulièrement bien à être hébergé: la vis sans fin s'engrenant dans l'engrenage impose son encastrement partiel .. ce qui semble possible. Alors découpons (pointillés puis lime douce) ce qui donne:
Le moteur est approché (sur ce montage, il est 'plongeant') de manière à laisser un très léger jeu fonctionnel sur les engrenages. Une fois positionné, il est collé à l'époxy:
Le captage est réalisé par quatre fins fils de bronze (achat chez Weber, métaux, rue du Poitou, 75000) soudés sur une morceau de circuit imprimé collés sur le châssis.
L'intérieur est apprété et garni de passagers et de lest laiton:
J'essaye de lester de manière que 2/3 de la masse soit sur l'essieu moteur et 1/3 sur l'essieu porteur.
Pour ce faire:
- poser un crayon (ou stylo) cylindrique sur la table
- y mettre en équilibre le châssis,
- disposer le lest pour un équilibre ... le crayon étant à 1/3 de l'essieu moteur.
Le lest est issu d'un tuyau en plomb (voir en déchetterie) mis en forme à l'étau.
Il est empiriquement dimensionné en mesurant la force de traction.
La force de traction est mesurée (en grammes/force), au crochet, au moyen d'une ex-cuillère Lidl (pile genre 1v2 avec capteur à déformation) installée dans un wagon tombereau.
Recommandation: lors d'achat d'engrenage hypoïde, toujours acheter un couple (H/F, roue dentée hypoïde/vis sans fin) et les conserver dans le même emballage (ne pas séparer)
Ce sont des réalisations simples, réalisées avec peu de moyens (je ne maitrise pas vraiment le tour à métaux).
Une perceuse suffit à percer "selon des pointillés (les trous)" une découpe qu'une lime douce approche du gabarit final.
Cet autorail est d'autant plus intéressant qu'il serait facile à motoriser.
J'utilise des essieux (roues de 9 mm) achetés chez Limousin Modélisme sur lesquels un engrenage hypoïde se fixe simplement (axe de 2 mm). Il suffit d'aléser avec un foret (je ne dispose pas d'alésoir) les carters d'origine.
Le carter 'moteur' est bouché d'un côté par une plaque alu collée à l'époxy: cette colle bicomposant est intéressante dans le sens où elle durcit progressivement et, fraichement durcie, se ramollit au décapeur thermique pour être décollée au bistouri de chirurgien dentiste (que l'on trouve dans les foires au jambon ou brocantes d'électronique, d'anciennes voitures, .. ).
Le couvercle du carter 'porteur' est réalisé par une simple tige de rivet 'pop' sertie dans le carter (deux petits coup de fraise + encastrement + 2 points de colle epoxy) pour obtenir un 'pseudo' essieu oscillant: les contacts rail/roues en sont grandement facilités.
Dans mes cartons, un moteur se prête particulièrement bien à être hébergé: la vis sans fin s'engrenant dans l'engrenage impose son encastrement partiel .. ce qui semble possible. Alors découpons (pointillés puis lime douce) ce qui donne:
Le moteur est approché (sur ce montage, il est 'plongeant') de manière à laisser un très léger jeu fonctionnel sur les engrenages. Une fois positionné, il est collé à l'époxy:
Le captage est réalisé par quatre fins fils de bronze (achat chez Weber, métaux, rue du Poitou, 75000) soudés sur une morceau de circuit imprimé collés sur le châssis.
L'intérieur est apprété et garni de passagers et de lest laiton:
J'essaye de lester de manière que 2/3 de la masse soit sur l'essieu moteur et 1/3 sur l'essieu porteur.
Pour ce faire:
- poser un crayon (ou stylo) cylindrique sur la table
- y mettre en équilibre le châssis,
- disposer le lest pour un équilibre ... le crayon étant à 1/3 de l'essieu moteur.
Le lest est issu d'un tuyau en plomb (voir en déchetterie) mis en forme à l'étau.
Il est empiriquement dimensionné en mesurant la force de traction.
La force de traction est mesurée (en grammes/force), au crochet, au moyen d'une ex-cuillère Lidl (pile genre 1v2 avec capteur à déformation) installée dans un wagon tombereau.
Recommandation: lors d'achat d'engrenage hypoïde, toujours acheter un couple (
Dernière édition par corail le Ven 20 Déc 2013 - 13:44, édité 5 fois
corail- je m'installe
-
Nombre de messages : 88
Age : 68
Localisation : Montpellier
Date d'inscription : 23/11/2012
Re: Motorisation facile
effectivement c’est très simple et efficace avec un autorail qui prend vie, merci pour ce partage
Sujets similaires
» la patine facile!!
» Un Picasso...facile ???
» Un monument aux morts facile
» [DIORAMA] Projet facile, quoique...
» Bachmann GE44 ou une p'tite digitalisation facile
» Un Picasso...facile ???
» Un monument aux morts facile
» [DIORAMA] Projet facile, quoique...
» Bachmann GE44 ou une p'tite digitalisation facile
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum