A1A A1A Fleischmann - on s'y risque ?
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A1A A1A Fleischmann - on s'y risque ?
La machine est bien connue ! pas tout à fait à l'échelle, les vis de fixation des boggies apparentes sur la carrosserie, un bleu un peu clair mais quand même une sacrée machine pour tracter et la seule représentante sérieuse de cette série pendant de nombreuses années avant l'apparition de celle de ROCO.
J'ai aussi celle de ROCO équipée ultérieurement avec un LokSound V3.5 ; c'est super. Pour ceux qui l'ont acheté sonorisée d'origine ils ont un LokSound V3.0 et donc quelques petits trucs en moins du point de vue son et fonctions.
D'où l'utilité du LokProgrammer pour faire la mise à jour du firmware du décodeur pour le passer en V3.5 puis charger les sons V3.5 . Je ferme l'apparté.
Revenons à la machine Fleischmann. Je ne sais pas ce qui m'a décidé à la digitaliser mais j'ai un jour pris l'idée de la faire. Un défi à moi-même pour aller au delà de juste brancher une prise ?
En fait c'est le deuxième essai qui a été concluant.
Le premier essai a été un échec car je me suis aperçu qu'un des charbons du moteur (ou des pôles si vous voulez) est directement relié électriquement au chassis et aux roues du boggie sans aucune possibilité de l'isoler à moins de faire de la mécanique de précision.
Donc après avoir résolu ce problème ( :salegosse: : :salegosse: : vous allez avoir la solution sous peu - patience) j'ai repris ma machine déjà partiellement démontée et ai démarré l'opération. Ah oui, noubliez pas de prendre les dimensions de la plaque marron qui supporte une diode d'origine !
J'ai retiré tout ce qui est câblage, diodes, et divers antiparasitages.
En gros je vais conserver les boggies, les conduits de lumières, les fixations des boggies, le lest qui simule les réservoirs et la carrosserie : :maisoui: :
Si vous regardez le boggie moteur, la vis inférieure de droite contribue à la connexion électrique directe du flasque du rotor et est connectée aussi directement à un des supports de charbon (le gauche si mes souvenirs sont exacts). Et c'est là que je me suis fait avoir la première fois car je me retrouvais avec un shuntage du décodeur et la centrale se mettait en sécurité imédiatement.
La solution est venue par un remplacement complet du rotor du moteur !
Je l'ai trouvé en Australie auprès de www.modeltorque.com.au
Je connaissais déjà cette entreprise car il y a quelques années je leur avais pris des kits pour remotoriser les machines LIMA équipées d'un moteur annulaire. Le résultat avait été correct à mon goût mais je pense qu'un des moteurs LIMA d'origine n'était déjà pas forcément dans un excellent état du point de vue pignons. A l'époque ils annonçaient le kit de remotorisation pour Fleischmann particulièrement pour ceux qui voulaient digitaliser.
Voici la bête : le moteur avec son support de fixation, trois vis, deux rondelles et des diodes (sous le thermo formable rose)
Oui mais cela a un coût. C'est vrai mais avec le change très favorable du Dollar australien (aligné sur le Dollar américain), l'achat de deux kits port compris m'a coûté environ 55€.
Je vous laisse juger.
Pas de difficultés d'installation (savoir toutefois lire la notice en ... anglais ...). Les deux rondelles incluses dans le kit sont mises sur les vis inférieures de fixation. Il faut surtout être très attentif au jeu entre le pignon du moteur et le premier pignon de la chaîne de traction. Il y a un dessin très explicite sur la notice.
Et voici le boggie moteur rééquipé.
Là encore premier test de câblage avec le décodeur pour vérifier la régulation du moteur et le connexions à faire.
Afin de ne pas me faire piéger et chercher en vain quel fil va où j'ai adopté quelques trucs.
Ainsi les roues connectées électriquement au fil rouge sont face à moi. Ce fil rouge sera connecté au fin rouge du décodeur. Le fil noir qui connecte les roues opposées sera connecté au fil noir du décodeur. A gauche vous verrez que j'ai fait une prise électrique directement sur le boggie via une rondelle sur laquelle j'ai soudé le fil noir.
Ceci m'a permis de détecter que le fil rouge du moteur sera à connecter avec le fil gris du décodeur et donc le fil noir du moteur avec le fil orange du décodeur : :maisoui: :
Et en plus au premiers tours de roue j'ai pu constater que j'aurai (comme pour le robot Brawa) des paramètres de régulation à reprendre pour obtenir un bon fonctionnement en digital.
Comme je voulais réaliser un montage propre et que je disposais de place j'ai décidé de réaliser un support pour le décodeur ainsi qu'une prise pour brancher le décodeur.
Celà ressemble à çà mais on en parle à l'épisode suivant (sous peu !)
A bientôt pour la suite !
J'ai aussi celle de ROCO équipée ultérieurement avec un LokSound V3.5 ; c'est super. Pour ceux qui l'ont acheté sonorisée d'origine ils ont un LokSound V3.0 et donc quelques petits trucs en moins du point de vue son et fonctions.
D'où l'utilité du LokProgrammer pour faire la mise à jour du firmware du décodeur pour le passer en V3.5 puis charger les sons V3.5 . Je ferme l'apparté.
Revenons à la machine Fleischmann. Je ne sais pas ce qui m'a décidé à la digitaliser mais j'ai un jour pris l'idée de la faire. Un défi à moi-même pour aller au delà de juste brancher une prise ?
En fait c'est le deuxième essai qui a été concluant.
Le premier essai a été un échec car je me suis aperçu qu'un des charbons du moteur (ou des pôles si vous voulez) est directement relié électriquement au chassis et aux roues du boggie sans aucune possibilité de l'isoler à moins de faire de la mécanique de précision.
Donc après avoir résolu ce problème ( :salegosse: : :salegosse: : vous allez avoir la solution sous peu - patience) j'ai repris ma machine déjà partiellement démontée et ai démarré l'opération. Ah oui, noubliez pas de prendre les dimensions de la plaque marron qui supporte une diode d'origine !
J'ai retiré tout ce qui est câblage, diodes, et divers antiparasitages.
En gros je vais conserver les boggies, les conduits de lumières, les fixations des boggies, le lest qui simule les réservoirs et la carrosserie : :maisoui: :
Si vous regardez le boggie moteur, la vis inférieure de droite contribue à la connexion électrique directe du flasque du rotor et est connectée aussi directement à un des supports de charbon (le gauche si mes souvenirs sont exacts). Et c'est là que je me suis fait avoir la première fois car je me retrouvais avec un shuntage du décodeur et la centrale se mettait en sécurité imédiatement.
La solution est venue par un remplacement complet du rotor du moteur !
Je l'ai trouvé en Australie auprès de www.modeltorque.com.au
Je connaissais déjà cette entreprise car il y a quelques années je leur avais pris des kits pour remotoriser les machines LIMA équipées d'un moteur annulaire. Le résultat avait été correct à mon goût mais je pense qu'un des moteurs LIMA d'origine n'était déjà pas forcément dans un excellent état du point de vue pignons. A l'époque ils annonçaient le kit de remotorisation pour Fleischmann particulièrement pour ceux qui voulaient digitaliser.
Voici la bête : le moteur avec son support de fixation, trois vis, deux rondelles et des diodes (sous le thermo formable rose)
Oui mais cela a un coût. C'est vrai mais avec le change très favorable du Dollar australien (aligné sur le Dollar américain), l'achat de deux kits port compris m'a coûté environ 55€.
Je vous laisse juger.
Pas de difficultés d'installation (savoir toutefois lire la notice en ... anglais ...). Les deux rondelles incluses dans le kit sont mises sur les vis inférieures de fixation. Il faut surtout être très attentif au jeu entre le pignon du moteur et le premier pignon de la chaîne de traction. Il y a un dessin très explicite sur la notice.
Et voici le boggie moteur rééquipé.
Là encore premier test de câblage avec le décodeur pour vérifier la régulation du moteur et le connexions à faire.
Afin de ne pas me faire piéger et chercher en vain quel fil va où j'ai adopté quelques trucs.
Ainsi les roues connectées électriquement au fil rouge sont face à moi. Ce fil rouge sera connecté au fin rouge du décodeur. Le fil noir qui connecte les roues opposées sera connecté au fil noir du décodeur. A gauche vous verrez que j'ai fait une prise électrique directement sur le boggie via une rondelle sur laquelle j'ai soudé le fil noir.
Ceci m'a permis de détecter que le fil rouge du moteur sera à connecter avec le fil gris du décodeur et donc le fil noir du moteur avec le fil orange du décodeur : :maisoui: :
Et en plus au premiers tours de roue j'ai pu constater que j'aurai (comme pour le robot Brawa) des paramètres de régulation à reprendre pour obtenir un bon fonctionnement en digital.
Comme je voulais réaliser un montage propre et que je disposais de place j'ai décidé de réaliser un support pour le décodeur ainsi qu'une prise pour brancher le décodeur.
Celà ressemble à çà mais on en parle à l'épisode suivant (sous peu !)
A bientôt pour la suite !
HA64- APPAR 64
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Re: A1A A1A Fleischmann - on s'y risque ?
et bien là je suis complètement d'accord avec toi pour ce qui est de réactualiser cette machine dans tout les sens du terme en plus c'est bien la seule qui représente la série en version d'origine.
en lisant tout cela je me demandais une chose, pourquoi il n'y a pas de modèle de sortie en version d'origine chez ROCO?
enfin brèf, c'est pas grave car je possède le même modèle que toi et je me demande si je ne vais pas suivre ta démarche qui est franchement très interressante
vivement la suite
en lisant tout cela je me demandais une chose, pourquoi il n'y a pas de modèle de sortie en version d'origine chez ROCO?
enfin brèf, c'est pas grave car je possède le même modèle que toi et je me demande si je ne vais pas suivre ta démarche qui est franchement très interressante
vivement la suite
A1A A1A Fleischmann - on s'y risque ?
Je reprends au sujet du support et du connecteur pour le décodeur.
La prise vue dans l'autre sens
La plaque est destinée à remplacer celle qui était vissée au toit de la machine et supportait les diodes. Aussi ai-je pris les mesures de l'ancienne plaque en largeur. En longueur, on peut réaliser la nouvelle un peu plus grande.
Matériau de base : du plasticarte de 1mm d'épaisseur.
La prise du décodeur est quant à elle réalisée avec de la "plaque pastillée" et des connecteurs "tulipe" que l'on trouve dans les magasins d'électronique. Pour ma part je prends de la plaque pastillée sans jonction entre les pastilles.
Je soude les picots des connecteurs tulipe sur chaque petite pastille de cuivre puis je fais passer le fil concerné par le trou et je le soude sur le picot. J'espère que les photos sont suffisamment bonnes pour être explicites.
Ensuite un peu de double face et l'ensemble plaque et connecteur seront assemblés d'où le résultat. J'ai un peu alésé la parti de la plaque qui touche le toit, sous le décodeur, afin d'aider un peu à la dissipation de la chaleur.
Je respecte l'ordre des fils du décodeur. A noter que j'ai remplacé le bleu directement par une résistance de 1000 ohms. Comme le +, véhiculé par le fil bleu, ne me sert que pour l'éclairage j'ai mis la résistance directement à la source.
Ceci diminue à mon goût le nombre de résistances. Chacun juge selon sa manière de procéder pour la digitalisation de sa machine.
Par principe je mets le fil vert au cas où mais pour cette machine je n'ai pas encore trouvé son utilité sauf si à terme je venais à l'équiper de dételeurs Krois. Dans ce cas il faudrait que je revoie mon "fil bleu".
Ensuite j'ai décidé de remplacer les ampoules de la machine par de braves Led jaunes. Celles de 5mm rentrent juste dans l'emplacement des ampoules.
Mais il faut vérifier la puissance lumineuse de la led. J'ai mis des led un peu faibles de ce point de vue là ce qui donne un éclairage jaune un peu blaffard mais pas forcément en contradiction avec l'époque III où les lampes des machines n'avaient pas la technicité des lampes actuelles.
Ensuite un petit coup de peinture bleu plutôt foncé et on rentre dans l'assemblage de la plaque sous le toit et les soudures des fils pour assurer le fonctionnement.
Le bogie de prise de courant sera positionné sous le support du décodeur
Le fil rouge ira sur les fils rouges du boggie
Le fil noir ira sur le fil noir du boggie
Le fil gris ira sur le fil rouge du moteur
Le fil orange ira sur le fil noir du moteur
Le fil blanc ira sur la cathode (la petite tige du côté du méplat) de la led que l'on voit sur la photo
Le fil jaune ira sur la cathode de l'autre led (celle qui est à côté du moteur)
De la résistance on tirera deux fils bleus qui iront rejoindre chacune des anodes (les grandes tiges) des leds.
Ensuite si on a bien soudé on remonte la machine, on crois les doigts et on met en route la centrale sur l'adresse 3 et on commence alors à toucher aux CV du décodeur.
Et le décodeur ?
Actuellement, hormis pour le robot Brawa pour lequel j'ai pris un Zimo de très petite taille, je n'utilise en principe que des ESU 52611 (alias Lokpilot V3.0 DCC). Ceci me permet de bien connaître ce type de décodeur et d'avoir une idée des ajustements nécessaires.
Plusieurs raisons ont dicté mon choix :
- Un prix accessible auprès d'un diffuseur accrédité de ESU (24€ environ pièce)
- De grosses possibilités pour réguler tous types de moteurs pas forcément adaptés (on arrive même à bien faire fonctionner un JOUEF 5 pôles avec ce décodeur) à la digitalisation : de nombreux exemples-types sont donnés dans la doc, exemples qui reprennent les grands types de moteurs des fabricants. ROCO est leur référence. En principe on ne touche pas aux CV de régulation pour les moteurs Roco actuels.
- La possibilité du "mapping" des fonctions F1 à F20 avec une affectation de la fonction selon le sens de marche
- La compatibilité avec le concept RailCom
- La reconnaissance des systèmes de freinage ZIMO, LENZ et ROCO.
- Une documentation technique plus aisée à mon goût à lire que celle de Lenz. Un inconvénient peut-être pour certains : elle n'est disponible qu'en allemand et anglais.
Le choix du décodeur restant l'opinion de chacun je ne veux influencer personne. ESU présente son décodeur comme "le couteau suisse des décodeurs".
C'est bien ton discours mon grand mais qu'as-tu modifié ?
Chez ESU ce sont les CV 53, 54 et 55 qui sont en cause pour la régulation du moteur (et un peu CV4 aussi). Je me suis basé sur l'exemple type du moteur Fleischmann et ai ensuite ajusté ce qui donne :
CV53 = 56
CV54 = 15
CV55 = 24
CV4 = 6 afin de ne pas avoir une vitesse de démarrage trop basse.
Et partant de là j'obtiens une machine qui répond bien en digital avec un roulement plutôt silencieux et une bonne force de traction et pas de hoquet (c'est ce que corrige le CV54 = 15).
Si vous avez besoin de plus de photos ou de renseignements, n'hésitez pas à demander ou réagir. J'essaierai d'y répondre autant que faire se peut.
La prise vue dans l'autre sens
La plaque est destinée à remplacer celle qui était vissée au toit de la machine et supportait les diodes. Aussi ai-je pris les mesures de l'ancienne plaque en largeur. En longueur, on peut réaliser la nouvelle un peu plus grande.
Matériau de base : du plasticarte de 1mm d'épaisseur.
La prise du décodeur est quant à elle réalisée avec de la "plaque pastillée" et des connecteurs "tulipe" que l'on trouve dans les magasins d'électronique. Pour ma part je prends de la plaque pastillée sans jonction entre les pastilles.
Je soude les picots des connecteurs tulipe sur chaque petite pastille de cuivre puis je fais passer le fil concerné par le trou et je le soude sur le picot. J'espère que les photos sont suffisamment bonnes pour être explicites.
Ensuite un peu de double face et l'ensemble plaque et connecteur seront assemblés d'où le résultat. J'ai un peu alésé la parti de la plaque qui touche le toit, sous le décodeur, afin d'aider un peu à la dissipation de la chaleur.
Je respecte l'ordre des fils du décodeur. A noter que j'ai remplacé le bleu directement par une résistance de 1000 ohms. Comme le +, véhiculé par le fil bleu, ne me sert que pour l'éclairage j'ai mis la résistance directement à la source.
Ceci diminue à mon goût le nombre de résistances. Chacun juge selon sa manière de procéder pour la digitalisation de sa machine.
Par principe je mets le fil vert au cas où mais pour cette machine je n'ai pas encore trouvé son utilité sauf si à terme je venais à l'équiper de dételeurs Krois. Dans ce cas il faudrait que je revoie mon "fil bleu".
Ensuite j'ai décidé de remplacer les ampoules de la machine par de braves Led jaunes. Celles de 5mm rentrent juste dans l'emplacement des ampoules.
Mais il faut vérifier la puissance lumineuse de la led. J'ai mis des led un peu faibles de ce point de vue là ce qui donne un éclairage jaune un peu blaffard mais pas forcément en contradiction avec l'époque III où les lampes des machines n'avaient pas la technicité des lampes actuelles.
Ensuite un petit coup de peinture bleu plutôt foncé et on rentre dans l'assemblage de la plaque sous le toit et les soudures des fils pour assurer le fonctionnement.
Le bogie de prise de courant sera positionné sous le support du décodeur
Le fil rouge ira sur les fils rouges du boggie
Le fil noir ira sur le fil noir du boggie
Le fil gris ira sur le fil rouge du moteur
Le fil orange ira sur le fil noir du moteur
Le fil blanc ira sur la cathode (la petite tige du côté du méplat) de la led que l'on voit sur la photo
Le fil jaune ira sur la cathode de l'autre led (celle qui est à côté du moteur)
De la résistance on tirera deux fils bleus qui iront rejoindre chacune des anodes (les grandes tiges) des leds.
Ensuite si on a bien soudé on remonte la machine, on crois les doigts et on met en route la centrale sur l'adresse 3 et on commence alors à toucher aux CV du décodeur.
Et le décodeur ?
Actuellement, hormis pour le robot Brawa pour lequel j'ai pris un Zimo de très petite taille, je n'utilise en principe que des ESU 52611 (alias Lokpilot V3.0 DCC). Ceci me permet de bien connaître ce type de décodeur et d'avoir une idée des ajustements nécessaires.
Plusieurs raisons ont dicté mon choix :
- Un prix accessible auprès d'un diffuseur accrédité de ESU (24€ environ pièce)
- De grosses possibilités pour réguler tous types de moteurs pas forcément adaptés (on arrive même à bien faire fonctionner un JOUEF 5 pôles avec ce décodeur) à la digitalisation : de nombreux exemples-types sont donnés dans la doc, exemples qui reprennent les grands types de moteurs des fabricants. ROCO est leur référence. En principe on ne touche pas aux CV de régulation pour les moteurs Roco actuels.
- La possibilité du "mapping" des fonctions F1 à F20 avec une affectation de la fonction selon le sens de marche
- La compatibilité avec le concept RailCom
- La reconnaissance des systèmes de freinage ZIMO, LENZ et ROCO.
- Une documentation technique plus aisée à mon goût à lire que celle de Lenz. Un inconvénient peut-être pour certains : elle n'est disponible qu'en allemand et anglais.
Le choix du décodeur restant l'opinion de chacun je ne veux influencer personne. ESU présente son décodeur comme "le couteau suisse des décodeurs".
C'est bien ton discours mon grand mais qu'as-tu modifié ?
Chez ESU ce sont les CV 53, 54 et 55 qui sont en cause pour la régulation du moteur (et un peu CV4 aussi). Je me suis basé sur l'exemple type du moteur Fleischmann et ai ensuite ajusté ce qui donne :
CV53 = 56
CV54 = 15
CV55 = 24
CV4 = 6 afin de ne pas avoir une vitesse de démarrage trop basse.
Et partant de là j'obtiens une machine qui répond bien en digital avec un roulement plutôt silencieux et une bonne force de traction et pas de hoquet (c'est ce que corrige le CV54 = 15).
Si vous avez besoin de plus de photos ou de renseignements, n'hésitez pas à demander ou réagir. J'essaierai d'y répondre autant que faire se peut.
HA64- APPAR 64
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Date d'inscription : 14/04/2008
Re: A1A A1A Fleischmann - on s'y risque ?
HA64 a écrit:... La solution est venue par un remplacement complet du rotor du moteur !
...l'achat de deux kits port compris m'a coûté environ 55€.
Je vous laisse juger...
C'est un peu dommage que tu n'en ai pas parlé, la solution plus économique réside dans l'acquisition d'un flasque moteur isolé à moins de 20€ et ton fournisseur habituel peu te le commander en quelques semaines.
D'ailleurs toutes les machines fleischmann doivent en passer par là. La pièce n'est tout de même pas donnée même si c'est moins cher que tes moteurs.
Nota : précisez bien la référence de la machine il existe plusieurs références. : :maisoui: :
Sinon, bravo pour le travail d'amélioration
youyoule- Cercle Ferroviaire de Nancy
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Re: A1A A1A Fleischmann - on s'y risque ?
c'est vraiment du très grand travail que je salue sincèrement
une question au passage, la valeur de la résistance est de combien?
une question au passage, la valeur de la résistance est de combien?
A1A A1A Fleischmann - on s'y risque ?
Il me semble l'avoir mis dans le texte.
J'ai utilisé une résistance de 1000 Ohms.
Pour ce type de Led je pense que c'est suffisant.
Si quelqu'un plus professionnel que moi en électronique peut nous donner des règles (hormis la loi d'Ohm) de protection des led en digital selon le type de led ce serait sympa.
J'ai utilisé une résistance de 1000 Ohms.
Pour ce type de Led je pense que c'est suffisant.
Si quelqu'un plus professionnel que moi en électronique peut nous donner des règles (hormis la loi d'Ohm) de protection des led en digital selon le type de led ce serait sympa.
HA64- APPAR 64
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Re: A1A A1A Fleischmann - on s'y risque ?
LA réponse est dans la question.
En digital en sortie de décodeur ou en analogique c'est idem.
la LED est un diode. Dans un sens elle laisse passer le courant et émet de la lumiere, dans l'autre non.
Dans le sens passant il faut limiter le courant 1) pour ne pas la détruire 2) pour limiter la luminosité.
Nota: en sortie de décodeur on à entre 100 et 200mA pas de quoi détruire quoi que ce soit (sauf le décodeur lui même).
enfin pour limiter le courant on utilise la loi d'ohm dans une résistance comme tu là fait.
Tu connais la tension de sortie du décodeur, la tension de la diode est de 0,1V.
La différence des 2 te donne la tension de la résistance.
Tu connais la valeur de la résistance, il ne te reste plus qu'à calculer la valeur du courant avec le sempiternel U=RI ou I=U/R dans ce cas.
A ma connaissance on a rien inventer d'autre
En digital en sortie de décodeur ou en analogique c'est idem.
la LED est un diode. Dans un sens elle laisse passer le courant et émet de la lumiere, dans l'autre non.
Dans le sens passant il faut limiter le courant 1) pour ne pas la détruire 2) pour limiter la luminosité.
Nota: en sortie de décodeur on à entre 100 et 200mA pas de quoi détruire quoi que ce soit (sauf le décodeur lui même).
enfin pour limiter le courant on utilise la loi d'ohm dans une résistance comme tu là fait.
Tu connais la tension de sortie du décodeur, la tension de la diode est de 0,1V.
La différence des 2 te donne la tension de la résistance.
Tu connais la valeur de la résistance, il ne te reste plus qu'à calculer la valeur du courant avec le sempiternel U=RI ou I=U/R dans ce cas.
A ma connaissance on a rien inventer d'autre
youyoule- Cercle Ferroviaire de Nancy
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Re: A1A A1A Fleischmann - on s'y risque ?
murielle & al a écrit:voila il reparle chinois : :maisoui: :
:jesors:
C'est pâs fabriqué en chine comme nos trains, c'est fabrique en Allemagne! hein George
Je sais, j'explique mal et en plus je me fâche :ordiparlafenet
Z'avez qu'a jeter un œil ici http://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_d%27Ohm
youyoule- Cercle Ferroviaire de Nancy
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Re: A1A A1A Fleischmann - on s'y risque ?
Je l'ai vue fonctionner vendredi soir elle va tres bien
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PIERRE Francomtois d'origine Bearnais d'adoption amoureux de la Normandie et supporter du FC SOCHAUX
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