Micheline type 23

voila:





voila les seules information que je dispose, extraites de l'exélente Encyclopédie du matériel moteur SNCF des éditions LE TRAIN tome 3: les autorails depuis 1935 (1er partie).

à possèder de toute urgence comme beaucoup d'autres livres des éditions LE TRAIN, c'est vraiment la revue qui à dépassé beaucoup d'autres car eux ne racontent pas de connerie et ne donne pas des choses fantaisistes.

Il y a aussi des infos dans le Tome 1 des Autorails de France d'Yves Broncard

Boudiouuuuuuuuuuuuuu avec un bogie au centre ? génial en Ho

Michel3 a écrit: Boudiouuuuuuuuuuuuuu avec un bogie au centre ? génial en Ho

C'est même le bogie moteur !

En plus ? mais en réel il faisait comment dans les courbes ? et le tout avec une caisse rigide meme pas deux demies caisses : :blase:

Michel3 a écrit:En plus ? mais en réel il faisait comment dans les courbes ? et le tout avec une caisse rigide meme pas deux demies caisses : :blase:

la caisse est rigide; les 2 bogies extrêmes fonctionnent comme des bogies classiques par rapport à la caisse, mais avec un porte à faux important sur l'axe d'articulation caisse/bogie que les 4 essieux masquent un peu. Le bogie central de 4 essieux aussi, lui, se déplace transversalement sous la caisse et des jupes de bas de caisse mobiles, s'effacent même dans des courbes prononcées, un peu comme des trappes de train d'atterrissage d'avion. Par contre, je ne suis pas sur que ce soit le bogie moteur en raison de cette mobilité.

En ce qui concerne l'inscription en courbe de tels engins, peut-être (supposition) que l'une des solutions était que certaines roues étaient dépourvues de boudin (comme on pourrait le faire en modelisme). Sur les bogies à 5 essieux des voitures inox du même constructeur, l'essieux central est dépourvu de boudin ...

tout comme sur les loco diésel A1AA1A 68000 ?

benj a écrit:En ce qui concerne l'inscription en courbe de tels engins, peut-être (supposition) que l'une des solutions était que certaines roues étaient dépourvues de boudin (comme on pourrait le faire en modelisme). Sur les bogies à 5 essieux des voitures inox du même constructeur, l'essieux central est dépourvu de boudin ...

Pas que je sache; c'est 3 bogies de 4 essieux dont le central latéralement mobile

J'y revient un peu:
les bogies d'extrémité sont en retrait important par rapport à l'extrémité de caisse, mais si l'on admet que l'articulation caisse/bogie se situe entre les essieux 2 et 3 du bogie, on est entre 3 et 4 m
Sur 30m de longueur de caisse, on a déja 7 m environ de gagné.
L'essieu central, qui est bien moteur (autant pour moi) est bel et bien mobile sous la caisse grâce à un système de tringlerie et de rails sous le plancher (je ne sais plus ou j'ai vu un shéma de ce montage) en cas de courbe à rayon court, le bogie central qui s'inscrit dans cette courbe, pousse une trappe à la façon de celle de case de train d'aterissage d'un avion, trappe qui est enlevée sur la photo du prototype et pas sur d'autres.
Un petit texte ici: http://roland.arzul.pagesperso-orange.fr/etat/materiel/autorails_michelin.htm expose que le moteur est sur ce bogie et fait 400cv. En dessus de ce bogie, un compartiment bagage et vers les 2 extrémités, 2 X 48 places, soit 96

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Voila le schema,je l'ai trouve sur le forum merci à CFPOLO66

Sur le site de Roland Arzul, la photo (que l'on retrouve dans le tome 1 des Autorails de France d'Yves Broncard) montre une Micheline électrique et pas une type 23.

Francis Bour a écrit:Sur le site de Roland Arzul, la photo (que l'on retrouve dans le tome 1 des Autorails de France d'Yves Broncard) montre une Micheline électrique et pas une type 23.

Tout à fait, mais c'était pour le petit paragraphe sur la 23

Ah, OK,OK,OK !!

L'affaire des Michelines type 23 de Carmaux reste toujours dans le mystère... Je n'ai pas trouvé d'archives sur ce dépôt autorail crée en 1934...
Pas de photos non plus.
De trés rares photos (3) des types 20 / 21 des Michelines carmausines existent.

A voir peut être aux archives... SNCF voir départementales (on y trouve parfois des pépites)

Quelques Michelines types 23 sont arrivées à Carmaux selon une info en 1939. Y sont-elles restées pendant la guerre? Mystère! On les retrouve après à Clermont - Ferrand...